Parmi les variables qui déterminent les indicateurs de développement régional, le taux de raccordement aux réseaux d’eau potable et d’assainissement. Après Kairouan, au centre, et Sejnane au nord, nous nous sommes dirigés vers Kasserine, où le taux de raccordement est inférieur à la moyenne nationale, pour la majorité des délégations du gouvernorat. Ce qui accentue la détresse des populations vulnérables et déshéritées qui peinent à accéder à l’eau potable, quand elles ne sont pas acculées à consommer de l’eau contaminée.
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Tunisia Grève-de-la-faim Révolution Partis politiques UGTT Rap UGET Communication Culture alternativeLe marasme du secteur pétrolier en Tunisie
Le secteur pétrolier est dans une situation tellement qu’il se trouve plongé dans un marasme total. Rien ne bouge, rien ne marche et rien ne change, depuis bien longtemps. Pourquoi ? Après des investigations, auprès des sociétés, et une collecte d’informations, auprès des personnes du domaine, nous sommes parvenus à tirer des conclusions sur les raisons qui ont contribué à cette situation.
Tunisie-Suisse : Retour d’expérience sur un exemple de coopération pour l’environnement
Avec un but d’intégrer dans les activités et visions des entreprises différentes préoccupations économiques, environnementales et sociétales, différents projets de coopération internationale ont lieu en Tunisie. C’est ce qui a été évoqué dernièrement dans l’article Production propre en Tunisie : piste de gains économiques et impératif écologique.
Production propre en Tunisie : piste de gains économiques et impératif écologique
L’énoncé de l’Article 45 de la nouvelle constitution Tunisienne place l’environnement comme un thème central que l’Etat doit protéger. Les constituants ont aussi consacré l’Article 129 à « l’Instance du Développement Durable et des Droits des Générations Futures ». La préservation de l’environnement est donc un sujet universel qui doit être pris en considération à la valeur qu’il mérite en tant qu’enjeu sociétal et économique.
Tunisie : Enjeux énergétiques, l’éolienne entre besoins et appréhensions
Après l’installation, en 2012, des deux centrales éoliennes de Metline à El Alia et de Jebel Kchayta à Bizerte, la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) projette d’étendre la centrale de Sidi Daoud. En effet, un accord a été conclu avec le groupe espagnol « Gamesa », lequel a contribué à l’installation de la première centrale éolienne de la STEG à Sidi Daoud, pour la construction de deux extensions.
هل تُسقط صفة “التكنوقراط” المسؤوليّة السياسيّة عن حكومة المهدي جمعة؟
قبل فترة ليست بالبعيدة، بعد 14 جانفي 2011 إلى حدود شهر فيفري 2014، كانت الساحة الإعلامية والسياسيّة في تونس تعجّ بالبيانات والتصريحات والتحرّكات الإحتجاجيّة التي كانت تصطاد أي هفوة حكوميّة وتسعى لتحميل الجميع المسئوليّة وتملأ المنابر بالتحليلات والتنظير وإلقاء التهم، في معركة انخرطت فيها جميع الأحزاب دون استثناء حسب تموقعها من السلطة، بل وكانت المنظّمات المدنيّة والنقابيّة جزءا منها وفاعلا أساسيّا فيها، حتّى كان الحوار الوطني ونُصّب السيّد مهدي جمعة رئيسا للحكومة الانتقاليّة الجديدة.
El Mediouni Well, Mahdia Oilfield: Circle Oil’s «Phenomenal» Discovery
As per Ridha Bouzouada’s claim that Circle Oil had justified reporting an important discovery as «nothing but a simulation based on drilling work,» L’Economiste Maghrébin has asked whether or not the Irish oil company might not have contrived the results of its drill findings to boost its numbers on the London Stock Exchange. Affiliated Tunisian institions and, by extension, Tunisian media, generally sparing in their (public) treatment of issues concerning foreign investment in the energies and hydrocarbon sectors, may in this case be spudding a more valuable “pontential large discovery” than that which has been so vastly and insouciantly associated with Circle Oil’s operations in Tunisian oilfields.
La Tunisie dans le noir : l’information en clair-obscur
Le 31 août dernier, tout le pays a été plongé dans l’obscurité, à la suite d’une gigantesque panne de courant. Ce blackout était supposé provenir de la centrale électrique de Ghannouch, à Gabés. Encore une fois, cet incident pose plus d’une question, non seulement sur les investissements réalisés dans le domaine des infrastructures énergétiques, mais aussi et surtout sur la gestion de ce moment de panique qui, en plus de plonger les citoyens dans le noir, les plonge dans la confusion.
Réforme de la réglementation et aide financière : l’Allemagne au centre de la croissance des énergies renouvelables en Tunisie
Quelle que soit la nature et l’ampleur de leur impact sur le projet de loi concernant les énergies renouvelables, la DII et la GIZ -les deux principaux intéressés à l’élargissement du marché des énergies renouvelables en Tunisie – semblent promouvoir des réformes qui menacent le rôle actuel de la STEG dans le domaine de la production et de la distribution d’énergie.
Sous le soleil de Tunisie : accroitre la production d’énergie solaire pour l’autoconsommation et l’exportation
Au cours des dernières années, les partenariats dans le secteur de l’énergie, en Tunisie, se sont souvent caractérisés par une opacité grandissante. Entre manque d’informations, absence de rapports détaillés et défaut de couverture médiatique, c’est tout un secteur qui vit, aujourd’hui, dans une certaine forme de fantasme, plus ou moins avérée.
Regulatory Reform and Financial Aid – Germany on Growing Tunisia’s Renewable Energy Sector
Two recent reports—Bardolet’s May 2014 overview for Dii and Cessat’s June 2014 analysis for GIZ—evaluate the present framework that governs renewable energies in Tunisia and recommend reforms conducive to opening the sector to foreign investment and collaboration. Both studies conclude that current regulatory measures pertaining to—particularly STEG’s—energy management are rigid, restrictive, exclusive and elusive, and that the imminent incorporation of provisions for «business models» as Bardolet discusses, or «foreign private operators» in the words of Cessat, of renewable energy projects is advisable.
Enquête : Le Street-Art en Tunisie (II)
Comme dans un mouvement de commune libération, les artistes urbains se sont donnés la légitimité de leur identification, comme groupe, collectif ou réseau. Et s’autorisent toutes les techniques et matériaux nécessaires pour mettre en exergue leurs démonstrations, de plus, dans une certaine forme de compétitivité, souvent « bon enfant », où ils rivalisent d’avancement en matière de nouvelles technologies et autres techniques de pointe.