Entre les envolées lyriques du discours souverainistes du président de la République, et la réalité des accords conclus et des prêts approuvés à l’Assemblée des représentants du peuple, depuis le 25 juillet 2021, le fossé est abyssal.

Entre les envolées lyriques du discours souverainistes du président de la République, et la réalité des accords conclus et des prêts approuvés à l’Assemblée des représentants du peuple, depuis le 25 juillet 2021, le fossé est abyssal.
Kais Saied, s’est fait élire à la présidence de la République tunisienne en 2019 en affirmant que « la normalisation est une haute trahison ». Cependant, son mandat a accéléré l’érosion du soutien à la cause palestinienne, décevant les espoirs de millions de Tunisiens et de Palestiniens.
The Mediterranean is becoming a graveyard as Europe looks to outsource the management of its borders, dealing out bribes to countries at its southern and eastern gateways. Stripped of their humanity, migrants are reduced to grim statistics. Journalists within the network Independent Media on the Arab World present readers with a series of articles exposing the exorbitant price paid by concerned populations, against their will.
Le pourrissement politique précédant l’annonce des candidats retenus pour la course aux élections présidentielles a atteint un niveau spectaculaire. Résultat : sur plus d’une centaine de candidats présumés, trois seulement ont été retenus.
Following one of the world’s most dramatic democratic transitions since the early 1990s, Tunisia’s descent into personalist rule has been equally stark. Although Kais Saied’s accumulation of power bears similarities to executive aggrandizement in other parts of the world, Saied’s regime is atypical in other ways that may be telling of the president’s assets and liabilities as he and his opposition navigate the first presidential elections since the coup.
They are grassroots activists, journalists and politicians. They face the wrath of a regime which sets out to silence dissenting voices. And, like their male counterparts, these Tunisian women pay the price for their activism.
Elles sont issues de tous bords : militantes associatives, journalistes, femmes politiques. Elles subissent les foudres d’un régime qui tend à brider les voix discordantes. Comme les hommes, elles font les frais de leur activisme.
L’épisode électoral n’est pas une simple compétition entre des politiciens pour le pouvoir. C’est un moment politique : dans toutes les démocraties, c’est lors des élections que le peuple prend possession des sujets politiques, s’interroge, débat, se forge ses opinions, se politise.
Les disparités régionales reflétées par les résultats du baccalauréat de cette année, comme lors des années précédentes, sont manifestes. Alors quelle place pour le mérite dans ce système ? La réussite des uns et l’échec des autres est-elle une fatalité ?
De nouveaux rebondissements dans l’affaire du projet Marina Gammarth mettent en évidence la corruption impliquant nombre de ministères et de cadres de l’État, y compris durant les deux gouvernements post-25 juillet.
Le dixième bey husseinite avait des rêves de grandeur. Des ambitions ruineuses qui accélèreront la débâcle financière de la Tunisie, qui tombera ainsi telle un fruit mûr dans l’escarcelle de l’occupant français.
Dans la perspective des prochaines élections européennes, la question des migrations est de nouveau la priorité de l’agenda politique de la Première ministre italienne, un agenda qui tend vers des durcissements sécuritaires de plus en plus inquiétants. L’externalisation des frontières semble désormais être la seule solution pour gérer les flux migratoires, comme le démontrent le protocole avec l’Albanie et les récents accords signés avec les présidents tunisien Kaïs Saïed et égyptien, Abdel Fattah Al-Sisi, malgré leurs violentes dérives autoritaires.