Par Khaznagi Larbi – A lire les articles et à entendre les discussions, je reste tout à fait étonné de constater que nombreux sont ceux qui font remonter le début de la dictature, sous laquelle croulait notre pays, à la prise du pouvoir par Ben Ali. J’avais seize ans en 1956, l’année de l’indépendance. Et depuis, je n’ai jamais vécu sous un régime de liberté dans mon pays, jusqu’au soir du 14 janvier 2011. Alors pourquoi occulter cette période d’absolutisme sous Bourguiba, qui n’a jamais été un démocrate ?
Tunisie : L’appel d’Ahmed Mestiri
Aujourd’hui, le gouvernement vient de faire une faute grave, une faute très grave. Aujourd’hui plus que jamais, le temps n’est plus à la réflexion angélique, le temps est à la rupture.
D’abord la confiance et la loyauté pour sortir de l’humiliation et du totalitarisme !
Il semble inutile de revenir sur le déroulement troublant des événements de laboratoire qui ont précédé la fuite de Tunisie, humiliante pour nous tous, du Président tunisien ce 14 janvier 2011. La « révolution grandeur nature » en Egypte a levé toute ambiguïté sur les desseins et l’opportunisme prémédité de la main invisible qui a coaché, en direct et en temps réel sur les télévisions du monde, l’organisation du départ du Général Moubarak du Caire.
بقايا النظام السابق يبحثون على عذارة سياسية جديدة
Sommes-nous en train de vivre un dérapage médiatique?
par Thouraya Hammami Bekri – Un mois après, que peut-on dire de la mue amorcée par nos médias? Sont-ils en train de relever leurs les défis ou sont-ils en train de succomber à d’autres pièges ? Sont-ils sur la bonne voie ou se trompent-ils d’orientation ?
Les opérations sous fausse bannière sont de retour en Tunisie
C’est une arme létale, extrêmement redoutable entre les mains de ceux qui n’ont plus aucune morale, ceux qui ont perdu tous sens de l’humanité […]
تونس: بين الحس الثوري و الوعي الثوري
لا يجب ان يفشل اعتصام القصبة هذه المرة
« I have a dream » : la nouvelle voie de mondialisation
Et si ce qui se passe actuellement en Tunisie est une miniature de la révolution mondiale ? Je suis complètement convaincu et cela poussera tous les décideurs politiques et économiques mondiaux à s’y interroger sur le nouveau visage qu’il faut donner à la mondialisation.
Tunisie : Après l’inquiétude l’indignation
Après la joie du 14 janvier nous avons été partagés entre la satisfaction et l’inquiétude. Les motifs de satisfaction ne […]
La méthodologie de la Haute commission pour la réforme politique est dangereuse pour l’avenir démocratique de la Tunisie
Le soulèvement extraordinaire du peuple tunisien a réussi à faire tomber le dictateur qui a pris la fuite avec son clan […]
Tunisie : La révolution continue ! Rejoignez le réseau des citoyens pour la démocratie inclusive !
Par Mehdi Khodjet El Khil Pendant ce mois historique de janvier 2011, un rêve s’est réalisé ! Plus fort que […]
Non aux forces des ténèbres qui nuisent à la Tunisie libre et à sa révolution
Par Fatma Bouamaied Ksila Dans la nuit du 17 au 18 février dernier, dans la ville de Mannouba, un des […]
Que faire maintenant pour la Tunisie ?
Par : Samia El Mechat La « révolution » en Tunisie expression d’un profond mal-être social, de rejet radical […]
Tunisie : Une violence d’une autre nature, la refonte de notre identité en 4 actes
Par Sami Aloulou Tout au long de la semaine écoulée, la Tunisie a connu l’émergence d’une violence d’une nature nouvelle, […]
رسالة مفتوحة إلى الحكومة التّونسيّة المؤقّتة: لا تَحُولوا بينَنَا وبين القاموس
Assassinat d’un prêtre polonais à la Manouba, Tunisie : à qui profite le crime ?
Par Florence Kessler – Vendredi 18 février 2011, le prêtre polonais Marius Ribynski, salésien et économe de l’école privée Salésienne de la Manouba en Tunisie, est découvert égorgé
La démocratie n’est pas une affaire de compétences, ni d’intérêts économiques
Lundi 7 février, en ouvrant Le Monde, il était possible de découvrir le portrait de jeunes Franco-tunisiens, « fils de bonne volonté », que l’on nous donnait à admirer : ils ont, sans hésiter, quitté une confortable situation professionnelle en France et rejoint la Tunisie, pour la faire profiter de leurs compétences