Du 16 au 24 mars auront lieu les journées du cinéma des droits et des libertés dans trois villes du pays : Thala, Le Kef et Tunis. Alors que le pays est en pleine mutation, que les questions de liberté et de droit sont au centre des débats, la culture apporte sa contribution à la réflexion.
Tunisie : Le Monde du Cinéma, entre déclin et promesses d’avenir
Après le « 14 Janvier », le cinéma tunisien était en plein bouillonnement, avec l’agitation et l’effervescence inséparables du réel désir de changement : un vrai terrain de combat. Tous les professionnels du secteur accouraient au portillon pour créer ou recréer des structures qu’ils voulaient légitimes pour le milieu. Ce fut alors la création de multiples associations et syndicats du cinéma, afin de se relayer les possibilités d’action pour sa diffusion, et la volonté de mise en place du Centre National du Cinéma et de l’Audiovisuel, tant attendu et espéré et qui ne voit toujours pas le jour. En somme, l’instauration à long terme d’une société civile du cinéma qui se voyait déjà des plus dynamiques.
أول دورة للمهرجان الدولي لسينما حقوق الانسان في تونس
خلال المؤتمر الصحفي الذي عقد بالأمس، قدم السيد المخرج إلياس بكار مع فريقه أول دورة للمهرجان الدولي لسينما حقوق الانسان. 38 فيلم من تونس و من العديد من البلدان الأجنبية سيتم عرضهم من 6 إلى 9 ديسمبر في قاعات سينما في تونس العاصمة و أيضا في مدينة سبيطلة.
هوامش يوم من ايام قرطاج السينمائية
انتقلنا بين نزل الافريكا و قاعة الكوليزي الى جانب عديد القاعات الاخرى لرصد تفاعل الجمهور مع الجوانب التنظيمية للدورة الحالية. حاولنا ان نضع بين ايديكم هوامش يوم من ايام قرطاج السينمائية في شكل روبرتاج
L’instrumentalisation idéologico-politique du cinéma : l’affaire Persepolis
Assujettir l’art à l’idéologie n’est pas l’apanage de la situation post-révolutionnaire en Tunisie. Il s’agit là d’une tentation qui a guetté la diffusion de la culture cinématographique dans le pays pendant plusieurs décennies. L’histoire de la FTCC (Fédération Tunisienne des Ciné-clubs) est à cet égard exemplaire.
« Fausse Note » de Majdi Smiri : Une Fausse Note qui fait mal aux yeux
Pour une fois il y a du monde, pour voir le film « Fausse Note » de Majdi Smiri, avec une brochette d’acteurs du petit écran et du cinema, Hichem Rostom, Lotfi Dziri , Lotfi Abdelii, et même Mohamed Dahech l’humoriste….
Le film et les malentendus de la révolution : l’affaire Nadia Al Fani et Persepolis
La révolution du 14 janvier a eu pour conséquence de déverrouiller l’espace public. Les événements cinématographiques n’ont pas échappé à cette tendance. Des films ont été projetés un peu partout dans le pays, y compris dans les régions les plus déshéritées…
Films « Jiha » et « Thawra ghir draj » de Ridha Tlili : Deux ondes autour d’une révolution
D’une certaine manière, là ou fini « Jiha », commence « Thawra ghir draj ». « Jiha » est un film sur une culture qui disparait, « Thawra ghir draj » est un film sur un art qui naît. Nous sommes quelques semaines après la révolution, un collectif de street-artistes commence à sévir dans les rues de Tunis et d’ailleurs.
Tunisie : Culture et décentralisation culturelle.
Par Amira Chebli – On ne peut pas parler de révolution en Tunisie sans parler de culture et de décentralisation culturelle, parce que la marginalisation qui s’est faite pendant deux dictatures successives n’était pas que économique et sociale mais elle était aussi et surtout culturelle. […]
Cinéma en Tunisie : Année 01
Dans sa grande mansuétude, le général Ben Ali avait déclaré l’année 2010 année du cinéma, comprenez : « année contre le cinéma ». Ce qui fut fait. Un projet global de réforme a été lancé avec la complicité de certains caciques du régime cinématographique alliés des autorités. Projet de réforme qui n’avait pour but qu’une plus grande mainmise des deux régimes (politique et cinématographique) sur le cinéma. Plusieurs lois régressives et répressives sont passées en catimini. Une décision présidentielle (arbitraire et unilatérale faut-il le préciser ?) d’encouragement au lancement de multiplexes fut annoncée. Etc.
ما هو مستقبل السينما في تونس؟
Aux trois mousquetaires de la censure
« Le silence de Dieu permet le bavardage de ses ministres », nous dit Michel Onfray. Nous Tunisiens, avons une preuve locale. […]
“شكشوكة” الفن و الدين و السياسة.
« Mon dieu je vous aime »
Par Wafa El Abed – Je ne connais pas Nadia el Fani, je n ai aucun rapport avec elle. Je suis musulmane pratiquante et très fière de l’être. Aujourd’hui, comme la majorité d’entre nous, je suis vexée, choquée, extenuée voire même anéantie par l’état de provocation qui perdure une fois que le calme règne, ce que j’estime planifié et prémédité.
Réflexions sur le film de Nadia El Fani
Par Wael.K – Le titre est plus que provocateur. La réalisatrice cherche bien à se faire insulter avec son air narquois (pour jouer la pauvre victime ensuite) ! Elle l’a avoué lors de son “show” sur Hannibal TV, elle provoque
FIFAK 2010: Le film «Harga» dévoile le désespoir d’une partie de la jeunesse tunisienne
Le Festival International du Film Amateur de Kelibia (FIFAK) est décidément un phénomène unique dans notre paysage culturel. On y […]
Le Projet De Réforme Pour Le Développement Du Cinéma Et De L’audiovisuel En Tunisie : Une Magouille Politico-Financières
L’État est terrifié depuis un certain temps par ce qu’il a lui-même généré depuis deux décennies de règne : une […]