اتّهم مدير عام مركز الموسيقى العربية و المتوسطية محمد الأسعد قريعة وزارة الثقافة و المحافظة على التراث في شخص مسؤولها الأوّل مهدي مبروك بافتعال وثيقة يُشتَبه في أنّها مزوّرة بهدف وضع حدّ لنشاطه المهني بصفته ملحقا بالمركز المذكور في خطّة مدير عام
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اتّهم مدير عام مركز الموسيقى العربية و المتوسطية محمد الأسعد قريعة وزارة الثقافة و المحافظة على التراث في شخص مسؤولها الأوّل مهدي مبروك بافتعال وثيقة يُشتَبه في أنّها مزوّرة بهدف وضع حدّ لنشاطه المهني بصفته ملحقا بالمركز المذكور في خطّة مدير عام
عاشت مدينة قليبية ليلة البارحة على وقع فعاليات اختتام المهرجان الوطني للأدباء الشبان في دورته السابعة والعشرين الذي نظمته جمعية منارة الأدب بقليبية والذي انطلق منذ يوم 16 أوت في برمجة متنوعة ومتوازنة. ضمّ المهرجان مسابقة في النص الفرنسي وفي النثر والشعر.
صدر مؤخرا الأمر عدد 2860 لسنة 2013، المؤرّخ في غرّة جويلية 2013، والمتعلق بإحداث المؤسسة التونسية لحقوق المؤلّف و الحقوق […]
Trois ans après la révolution tunisienne, le bilan en matière culturelle est, de l’avis général, mitigé. La réflexion, la création et la production intellectuelle sont dérisoires, le niveau de l’enseignement baisse lamentablement d’année en année, l’innovation artistique est presque inexistante (sauf quelques exceptions)
A post-revolutionary context is supposed to be one of “pluralism” where different political, intellectual, and social tendencies co-exist and compete at the same time. However, in Tunisia, we seem to confuse “pluralism” with “bipolarism”.
En Tunisie, même si c’est le protectorat français qui a contribué à l’installation puis à la diffusion du théâtre, ce à partir de la fin du 19ème siècle jusqu’aux débuts du 20ème, il va sans dire que le 4ème Art tunisien a su se doter depuis d’une identité et d’une généalogie bien spécifique. Qu’en est-il aujourd’hui, bien des années ultérieurement ? Après tant de changements générationnels, sociaux et humains ?
L’affiche de l’atelier « Luttes et Expressions Artistiques », tenu hier mercredi 27 Mars de 16 à 18h30, au Campus Universitaires de Tunis, dans le cadre du Forum Social Mondial 2013, parle d’elle-même. « La révolution culturelle tunisienne » écrite en lettres calligraphiques arabes, noires charbon, sur un fond parsemé de taches de sang.
C’est un nouveau périodique de bande-dessinée, fruit d’une réunion professionnelle et humaine de sept auteurs, tous passionnés par le 9ème Art. La diffusion, la popularisation et la démocratisation de « La » bande-dessinée comme expression artistique, mais aussi citoyenne à part entière, à la croisée de l’écrit et du graphique, est en quelque sorte leur combat
نظرت اليوم الدائرة الجناحية بالمحكمة الإبتدائية ببن عروس في قضية المتهمين بما بات يعرف بقضية ولد ال15 على اثر اصداره لكليب “البوليسية كلاب” الذي أحدث ضجة مؤخراً وأثار حفيظة الأمنيين.
Du 16 au 24 mars auront lieu les journées du cinéma des droits et des libertés dans trois villes du pays : Thala, Le Kef et Tunis. Alors que le pays est en pleine mutation, que les questions de liberté et de droit sont au centre des débats, la culture apporte sa contribution à la réflexion.
Foire tant espérée et tellement attendue après un an d’absence (il n’y a pas eu de Foire du Livre en 2011). Ce dernier rassemblement des protagonistes qui peuplent l’Univers de l’Ouvrage National et International a suscité et engendré des questionnements aussi divers que préoccupés, autant perplexes que nonchalants.
Devant la gravité de la situation du Ministère de la culture, et face à des annonces de réductions budgétaires intolérables pour un pays qui rayonne à travers sa culture et ses créateurs, nous réclamons au moins 1 % du budget pour la culture et l’arrêt de la confusion entretenue entre cultuel et culturel. La Tunisie Post révolutionnaire est culturelle ou ne l’est pas.
Le 20, 21 et 22 Décembre dernier, nous avons assisté au dernier cycle d’« Art/cè Seulement » dans la capitale tunisoise, au théâtre « le 4ème Art ». Avec une chorégraphie (danse et jeu), un texte, une mise en scène et une scénographie réfléchis par Nawel Skandrani, et une musique dont la composition et l’interprétation sont l’œuvre de l’auteur, compositeur et interprète tunisien, Jawhar Basti.
انتقلنا بين نزل الافريكا و قاعة الكوليزي الى جانب عديد القاعات الاخرى لرصد تفاعل الجمهور مع الجوانب التنظيمية للدورة الحالية. حاولنا ان نضع بين ايديكم هوامش يوم من ايام قرطاج السينمائية في شكل روبرتاج
La distinction entre la liberté individuelle et collective est devenue, sur le plan intellectuel et juridique, un terrain de réflexion surchargé de sens dans la Tunisie postrévolutionnaire.
Les crises culturelles et identitaires auxquelles on assiste depuis la révolution tunisienne ont favorisé la montée de l’extrémisme de tous genres idéologiques. À cet effet, on a souvent avancé les facteurs économiques liés à la politique du développement, à la pauvreté frappante de certaines familles, au taux élevé du chômage chez les jeunes et à la grande densité urbaine dans certaines villes.
« Babylon », a finalement déambulé son expérience dans le grand Tunis. Long-métrage documentaire indépendant de toute structure et autofinancé par une jeune boite de production, « Exit Productions », pensé, imaginé et mis en œuvre par trois non moins jeunes réalisateurs, Ismaël, Youssef Chebbi et Ala Eddine Slim, ce film est un véritable exercice de style avec l’accouchement programmé d’une nouvelle facture cinématographique nationale.