Hamida a 63 ans. Pendant des années, elle a subi sans oser nommer ce qui lui arrivait : un viol commis par son propre mari. Son histoire, loin d’être isolée, révèle l’immense tabou qui entoure la violence sexuelle conjugale en Tunisie, où la culture, la religion et le droit perpétuent le silence et la souffrance des femmes.
