Une enquête menée par des résidents du service de santé mentale de l’hôpital Mongi Slim a mis en évidence l’impact psychotraumatique résultant de l’exposition des Tunisiens aux images de la guerre à Gaza.

Une enquête menée par des résidents du service de santé mentale de l’hôpital Mongi Slim a mis en évidence l’impact psychotraumatique résultant de l’exposition des Tunisiens aux images de la guerre à Gaza.
Projeté mardi dernier au Cinémadart, « Taste of Cement » est un objet cinématographique hybride, à la fois documentaire sur la situation des ouvriers syriens en exil au Liban et essai filmique qui construit une proposition esthétique et philosophique sur la condition humaine. Il est surtout un poème visuel dont la force émane d’un travail sur l’opposition entre des couples de contraires : les hommes et la matière ; la vie et la mort ; la guerre et la paix ; l’élévation dans les cieux d’un chantier en construction et la descente dans les bas-fonds d’un monde délibérément caché aux regards, celui de ces travailleurs auxquels l’Etat libanais interdit de circuler dans la ville à la nuit tombée.
La caméra tout en sensibilité d’Oussama Azzi sait prendre de l’altitude. D’une fine épaisseur poétique, son film « Le Silencieux », met en scène le trauma mal dégluti de la guerre. Projeté le 17 août dans le cadre de la 32ème édition du Festival International du Film Amateur de Kelibia (FIFAK), ce court-métrage de fiction est reparti avec le Faucon d’or de la compétition internationale, ex-æquo avec le film d’animation « My life don’t want » du myanmarien Nyan Kyal Say.
Invité par les initiateurs de la campagne Manich Msmah, Bernard Stiegler a invoqué Nietzsche pour mettre en garde contre « l’auto- annihilation » qui consume le monde. Il propose une « économie contributive » comme alternative systémique qui doit être adoptée y compris en Tunisie. Une Tunisie où le « processus révolutionnaire est en cours » se réjouit le philosophe.
Plus que jamais nous avons besoin d’opposer à l’armée contre-révolutionnaire et son armada une politique unie des opprimés. Cela ne pourra jamais se réaliser sans une efficace centralisation démocratique et une solide direction qui trace ce qui relève de la tactique et ce qui ressort de la stratégie.
La remise de l’ambassade syrienne en Tunisie à l’opposition n’aura pas lieu dans l’état actuel des choses puisque des conditions juridiques et diplomatiques doivent être remplies au préalable.
Le respect des libertés, des droits de l’homme et de la démocratie sont certes des impératifs en Syrie. Cependant, il est temps que le monde Arabe apprenne à bâtir sa démocratie et son avenir sans recours à l’occident qui risque de ne servir que son propre agenda politique.
Le Mali offre une preuve toute récente sur la nécessité urgente pour la communauté internationale de réaliser que le monde a changé et que l’on ne peut plus gérer ses réalités de la même façon qu’avant et en tout cas ni longtemps ni durablement.
Le camp de Choucha est encore ouvert pour quelques mois. En juin 2013 il fermera. D’ici là la plupart des personnes ayant le statut de réfugié et ayant bénéficié d’un programme de réinstallation seront parties. Restera à régler la situation des réfugiés non réinstallés et celle des personnes déboutées.
Alors qu’à lieu aujourd’hui une rencontre pour commémoration la conférence de Tanger d’avril 58 et l’appel de Tunis d’avril 2011, pour un Maghreb uni, un représentant Touareg de l’Azawad nous a raconté son histoire.
Roger Naba’a | 18.08.2011 | Beyrouth Quatre sujets reviennent régulièrement dans les médias qui couvrent le Printemps arabe. Si les […]
Vingt cinq ans après le raid punitif des Etats-Unis contre Tripoli et Benghazi, le 14 avril 1986, la Libye est […]
Un parfait contre exemple dans les annales de la géostratégie mondiale Multirécidiviste dans la diversion, L’Arabie saoudite encouragera Saddam Hussein […]
Unique famille à avoir donné son nom à son pays, ce que même Christophe Colomb, le découvreur de l’Amérique, n’a songé à faire, Unique pays à porter le nom de sa famille conquérante, ce que même Jules César n’a osé faire, l’Arabie saoudite est aussi l’unique entreprise familiale au monde à siéger aux Nations Unies, un privilège qu’aucune dynastie si prestigieuse fut elle, qu’aucune multinationale si puissante soit elle, n’a jamais pu exercer […]
Libéré de prison en fin de peine le 3 mai 2009 au terme de six ans d’emprisonnement, Taoufik Selmi, originaire […]
Trois ans jour pour jour après le début de son incarcération, Badreddine Ferchichi a quitté la prison de Mornaguia pour […]
Derrière l’argument de sécurité se cache naturellement un démon démographique. Les juristes du ministère de la Justice ont fait tomber […]
C’est au lendemain de la très médiatisée visite en Algérie du ministre des Affaires Etrangères Bosniaque, Sven Alkalaj, les 8 et 9 février dernier , qu’Omar Frendi, de nationalité algérienne, a été arrêté et placé au centre de rétention de Lukavica en , dans l’attente de son renvoi en Algérie. En voilà une fâcheuse coïncidence. Officiellement, les échanges entre Sven Alkalaj et son homologue algérien n’étaient qu’un « échange d’informations » sur les Algériens de […]