Media 252

Nizar Bahloul prochainement devant la justice

En raison des remous et des réactions suscités par la condamnation par défaut de Nizar Bahloul , je tiens à informer les journalistes et l’opinion publique des derniers développements de cette affaire en prévision de la tenue prochaine des audiences relatives aux deux procès intentés par moi à l’encontre de ce journaliste, le premier en appel le 16/04/2013 et le second en première instance le 23/04/2013 .

Déterrement d’un projet de loi liberticide en vue d’abroger le décret-loi 115

Mme Souad Abderrahim, membre de l’ANC élue en octobre 2011 sous la bannière du mouvement islamiste Ennahdha, a annoncé, mercredi lors d’une conférence organisée à Tunis par l’Institut Arabe des Droits de l’Homme (IADH), le Conseil de l’Europe et l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), sur les “Garanties normatives et institutionnelles de la liberté d’expression” […]

Distribution : Daadaa, le vieux démon de la presse

À cinq heures, le matin, même le dimanche, quelques dizaines d’hommes en pleine énergie travaillent depuis des heures à rue Bab El khadera sous Sabat El Jazira, à Tunis. Au milieu de la petite foule fourmillante, un vieil homme, presque nain, donne des ordres, salut des uns et gronde d’autres. Il est le chef. Personne ne peut douter de son pouvoir sur ces dizaines qui viennent tous les matins remplir leurs voitures de nouveaux stocks de papiers. Depuis des dizaines d’années, la société de Daadaa pour la distribution, ne dort pas la nuit pour servir l’information chaque matin.

الإعلام الفرنسي و دم شكري بلعيد

يخصص الإعلام الفرنسي هذا الأسبوع للحديث عن مقتل المعارض شكري بلعيد. و قد استغرب كثير من التونسيين تركيز الإعلام الفرنسي على هكذا حدث و تخصيص ساعات طويلة من البث في حين يتم التعتيم تماما على مجريات الحرب القائمة في مالي و التي يخوضها الجيش الفرنسي. السؤال الذي يتبادر للأذهان هل تتاجر فرنسا إعلاميا بقضايانا من أجل التغطية على ما تتحدث عنه منظمات حقوق الإنسان الدولية من جرائم مروعة ضد الإنسانية في مالي؟

Tunisie: Un débat sur la gauche et l’information

Pendant les vingt dernières années, comme nous le savons, les médias occidentaux, quelques fois par pure superficialité commerciale, d’autres fois guidés par des intérêts manipulateurs prémédités, ont alimenté une visión schématique et négative du monde arabe, identifié de manière quotidienne à l’islamisme fanatique et au terrorisme.

Tunisie : “Braiment d’âne n’arrive pas au ciel”*. Une polémique minable et oiseuse sur la transition tunisienne

Je pense que la polémique est le sel du débat culturel et politique. Mais je doute de l’utilité d’une querelle oiseuse, non documentée et ignorant délibérément la biographie intellectuelle et politique de celui ou celle que l’on critique. C’est le cas de la lettre “Révolutions arabes et clichés”, signée par Mario Sei, Santiago Alba Rico, Sondes Bou Said, Patrizia Mancini et Hamadi Zribi

Média : quand l’UE pousse les directeurs de journaux maghrébins à rédiger un code de déontologie

Le Maghreb bouge, sa presse aussi. De ce fait l’Union Européenne a jugé utile de travailler à la mise en place d’un code de déontologie de la presse au Maghreb. La délégation de l’UE en Tunisie a réuni une vingtaine de patron de presse originaires de Mauritanie, du Maroc, d’Algérie, de Tunisie et de Libye ainsi que des experts internationaux et des journalistes pour un forum en Tunisie.

Révolutions arabes et clichées

Pour qui vit, travaille ou voyage souvent dans des pays comme l’Egypte ou la Tunisie, c’est toujours étonnant s’apercevoir de l’énorme écart existant entre la réalité vécue et la représentation de la réalité de ces pays dans les média occidentaux, et cela indépendamment de leurs différentes orientations politiques.

La presse internationale et le deuxième anniversaire de la chute de Ben Ali

C’est une impression d’apathie qui ressort en parcourant la presse internationale ce 14 janvier à la recherche d’articles sur le deuxième anniversaire de la chute de Ben Ali. La majorité relate simplement les marches organisées à Tunis à cette occasion. Les quelques articles d’analyse donnent dans l’ensemble l’image d’une Tunisie engluée dans une transition qui ne tient pas ses promesses.