Voici la liste des élus du 3e Congrès du Syndicat National des Journalistes Tunisiens, telle que lue par le président […]

Voici la liste des élus du 3e Congrès du Syndicat National des Journalistes Tunisiens, telle que lue par le président […]
Hier, tard durant la soirée s’est achevé le 3e Congrès du Syndicat National des Journalistes Tunisiens. La liste de Néji Bghrouri ayant remporté 7 sièges sur 9. Une large victoire pour celui qui sera probablement le prochain président du SNJT. Voici les photos prises durant la seconde journée du congrès.
Force est de constater que nous assistons depuis quelque temps à un discours général sur l’état de notre économie de plus en plus alarmiste. Membres du gouvernement, hommes politiques, économistes et médias reprennent en chœur un même discours parfois contraire aux prévisions, allant même à contresens des précédentes déclarations plutôt optimistes.
Alors qu’elles continuent à mettre en spectacle le politiquement « incorrect », les chaînes privées se revendiquent d’une liberté et d’une pluralité, largement usurpées. A ce propos, la prolifération des émissions de téléréalité est édifiante. Ce genre qui consacre la « télévision du pauvre », instituée par le « président des pauvres »*, s’accapare l’audimat en vantant la pornographie sociale.
Suite à la révolution, toute une société va se retrouver confrontée aux actes des indignes ayant agi en toute impunité, après avoir monnayé leurs honneurs auprès d’une vile dictature. L’état du système du droit, déjà en crise sous la dictature, s’est retrouvé dans l’incapacité de proposer des dispositifs « civilisés » pour solder un lourd passé. L’incapacité due à cette crise, entre autres, à fournir des réponses, va être d’autant plus perceptible dès que l’on aborde le passif des violations déontologiques dans le secteur des médias sous le règne de Ben Ali. Entre menaces de « listes noires » et incapacité du droit à arbitrer (I), la réponse va s’avérer complexe. Une complexité que révèle volontiers une esquisse de déconstruction de la présente crise éthique du journalisme tunisien (II). Et la sortie du tunnel ne semble pas si proche, tant la dimension économique, y compris durant la période postrévolutionnaire, mêle argent et déontologie dans une difficile équation (III).
Intitulée « All in the Family, State Capture in Tunisia », le rapport a été publié fin mars 2014, dans la série des documents de travail de la Banque mondiale consacrés à la recherche sur les politiques. Cette enquête sur la corruption économique en Tunisie, entre 1987 et 2010 sous le régime du président déchu Zine El Abidine Ben Ali, a pour but d’ « identifier la relation entre les politiques d’investissement et les intérêts des hommes politiques Tunisiens dans le monde des affaires »
Nous avons sélectionné un certain nombre de mots clefs relatifs à la question des ressources naturelles (essentiellement phosphate, gaz et pétrole). S’appuyant sur un outil d’analyse et de veille des médias électroniques, nous avons constaté que, comparés à ces dernières années, ces mots clefs ont atteint un pic, pendant la semaine allant du 8 au 14 mars 2014.
Amel Karboul est-elle la belle médiatique de la bête gouvernementale ? Dès sa nomination au poste de ministre du Tourisme, la belle, au sens propre du terme, n’a laissé personne de marbre : politiques, médias, réseaux sociaux et simples citoyens y sont allés de leurs petits commentaires.
La semaine médiatique a été chargée en…terrorisme. Entre les événements de Raoued, du 4 février dernier, et quatre jours après, ceux de Borj Louzir, le ministère de l’Intérieur, les médias et les réseaux sociaux se sont encore une fois enflammés, traitant les informations d’une façon inappropriée.
En privilégiant les échanges d’insultes aux vrais débats d’idées, en troquant sa vocation didactique contre la télé poubelle, en substituant le sensationnel à la rigueur du journalisme, la télévision ne peut que se transformer en une machine de désinformation de masse ; et c’est uniquement pour cette raison que la télévision est aujourd’hui devenue le moyen incontournable de la propagande idéologique, voire partisane.
L’Association Mondiale des Journaux et des Editeurs de Médias d’Information (WAN-IFRA) s’apprête à accueillir des délégués venant des quatre coins de la région Arabe pour la 6ème édition de son Forum de la Presse Arabe Indépendante, qui aura lieu du 24 au 26 novembre 2013 dans la capitale tunisienne, Tunis.
Moez Joudi. Dans quelle catégorie peut-on le mettre ? Sommes-nous vraiment devant un expert de calibre international que l’on doit écouter avec attention ? Ou bien la réalité est toute autre ? En tout cas, une seule façon pour le savoir : décortiquer son discours.
Tunis, le 9 octobre 2013 La Coalition civile pour la défense de la liberté d’expression : Le paysage audiovisuel en […]
Bruxelles, 27/09/2013 (Agence Europe) – La grève générale des médias tunisiens, le 17 septembre dernier, suite aux tracasseries et même […]
Reporters sans frontières est soulagée d’apprendre la libération de Zied El Heni, mais regrette que cette remise en liberté n’ait […]
Depuis que la troïka, plus précisément Ennahdha a tenu le pouvoir, au lieu de s’attaquer à la corruption qui gangrène le pays et de se concentrer dans l’écriture de constitution, Ennahdha s’en prend à un ennemi qui n’est point vulnérable et entre gratuitement et bêtement en guerre contre les médias les traitant par « les médias de la honte » (i3lem el 3ar) parce que -selon elle- tous les médias qui n’ont pas manifesté un minimum d’allégeance pour le parti au pouvoir sont considérés comme des traîtres à la révolution, à la démocratie, au choix du peuple et surtout à la fameuse légitimité !
Depuis les évènements du 14 janvier 2011, le pays est en pleine mutation ! Le rôle des médias et la place des journalistes deviennent des enjeux de pouvoir et les réformes engagées dans ce secteur cristallisent souvent les contradictions inhérentes à la nature même de la transition qui a cours dans notre pays.
Le patron de la chaîne tunisienne EttounsiyaTV, Sami Fehri a été libéré mercredi après plus d’un an d’une détention considérée […]