Opposition 442

إرث الدكتاتورية الخفي: ثقافة اللامسؤولية عند النخبة السياسية في تونس

بقلم د. خليل العميري – الأكيد أن عقودا من حكم الحزب الواحد والرئيس الواحد والرأي الواحد كرست مفهوما منحرفا للمسؤولية يستهزأ بالشعب وينظر إليه شعوريا أو لا شعوريا بنظرة القاصر الذي لا يرتقي الى مستوى محاسبة رجل الدولة ومسائلته جديا. ومما زاد في تفاقم هذا المشكل انغلاق النخبة السياسية التي استفردت بالسلطة منذ الإستقلال على نفسها ورفضها كل محاولات الإنفتاح والإصلاح.

Lettre ouverte à Taoufik Ben Brik : quand vous utilisez votre militantisme pour dénigrer pèle-mêle Ghannouchi et les gens de Sidi Bouzid et Kasserine

La lecture de ce pamphlet m’a rappelé les sordides articles de presses de bas étage sous l’ancien régime où des pseudos-journalistes, n’ayant comme talent qu’une vulgarité à toute épreuve, portaient atteinte à l’honneur d’une des femmes les plus respectables de Tunisie, Mme Sihem Ben Sedrine. Elle, au moins, a su garder sa dignité avant et après la chute du dictateur. A méditer…

Tunisie, quo vadis ?

Les maladresses du premier ministre et de certains des ministres désignés, les atermoie-ments des partis politiques et de l’UGTT, les démissions successives ne font qu’aggraver mon désarroi. Face à un tel dilettantisme comment se taire !

Le gouvernement des perturbations publiques doit partir

Nous avons assisté à une révolution d’une fierté, d’une dignité et d’un patriotisme inégalés. Ce cri, cette clameur audibles sur le globe entier appelaient à la restauration d’une dignité et d’une liberté confisquées à la Tunisie entière. Toutes les classes sociales sans exception aucune se sont révoltées contre la dictature obscure d’un pantin manipulé par une mante religieuse, le tout relayé par un système gangréné dont quelques rares rouages ont été épargnés.