Assujettir l’art à l’idéologie n’est pas l’apanage de la situation post-révolutionnaire en Tunisie. Il s’agit là d’une tentation qui a guetté la diffusion de la culture cinématographique dans le pays pendant plusieurs décennies. L’histoire de la FTCC (Fédération Tunisienne des Ciné-clubs) est à cet égard exemplaire.
Le film et les malentendus de la révolution : l’affaire Nadia Al Fani et Persepolis
La révolution du 14 janvier a eu pour conséquence de déverrouiller l’espace public. Les événements cinématographiques n’ont pas échappé à cette tendance. Des films ont été projetés un peu partout dans le pays, y compris dans les régions les plus déshéritées…
Tunisie : Au-delà du « procès Persepolis »
Le jour où l’UNESCO fête à Tunis – et en présence du premier ministre désigné Hamadi Jebali – la liberté de la presse coïncide avec la condamnation d’une chaîne tunisienne pour atteinte à l’ordre public et aux valeurs du sacré. L’on se demande pourtant qui cause régulièrement des troubles à l’ordre public…
Liberté d’expression en Tunisie : la justice, nouveau fer de lance de la censure ?
[…] En mai 2011, soit cinq mois après le départ de Ben Ali, cinq pages du réseau social Facebook ont été censurées en Tunisie sur ordre du tribunal militaire. […]
ما هو مستقبل السينما في تونس؟
Yes I Am un immense provocateur
A l’approche des premières élections libres et démocratiques que va connaitre la Tunisie, beaucoup de sentiments envahissent les Tunisiens : […]
Nessma TV laïcité inchallah, Ennahdha non !
Une fin de semaine si agitée en Tunisie après la diffusion de NessmaTV du film Persepolis de la productrice franco-iranienne, […]
Persepolis, ce dessin animé qui accapare notre attention à 13 jours d’un tournant historique !
Quelqu’un peut m’expliquer pourquoi est ce qu’on accorde autant d’attention a ce dessin animé ? Ca devient lassant à la […]