Assujettir l’art à l’idéologie n’est pas l’apanage de la situation post-révolutionnaire en Tunisie. Il s’agit là d’une tentation qui a guetté la diffusion de la culture cinématographique dans le pays pendant plusieurs décennies. L’histoire de la FTCC (Fédération Tunisienne des Ciné-clubs) est à cet égard exemplaire.
