Le journaliste d’Express FM Zouhaer El-Jiss comparaîtra demain, vendredi 13 septembre 2013, devant le tribunal de première instance de Tunis. Il est accusé, avec le rédacteur en chef et le webmaster de la radio, de diffusion de propos calomnieux et de fausses informations pouvant troubler l’ordre public, et d’outrage au président de la République.
Dernière mise à jour: Mercredi 31 juillet @1H30 Jeudi 25 juillet vers midi le député Mohamed Brahmi, démissionnaire du parti Echaab et fondateur du parti Attayar Achaabi était assassiné devant chez lui. Depuis des mouvements de protestations ont lieu dans le pays. Le bras de fer, débuté avec le lancement d’un sit-in, entre “légitimité des urnes” et “légitimité de la rue” continue.
Le retrait inattendu du général Rachid Ammar de la vie « politico-militaire » a donné le la de la dernière semaine du mois de juin, une semaine marquée par un chassé-croisé estival, passe d’armes indirecte avec un président Marzouki qui reprend la main, sur fond d’âpres débats autour de la loi d’immunisation de la révolution.
La remise de l’ambassade syrienne en Tunisie à l’opposition n’aura pas lieu dans l’état actuel des choses puisque des conditions juridiques et diplomatiques doivent être remplies au préalable.
Alors qu’une campagne de boycott a été lancé contre son nouveau livre « L’invention d’une démocratie, les leçons de l’expérience tunisienne» par des éditeurs tunisiens*, Marzouki rencontre pour l’occasion des journalistes du Parisien et de France Culture pour deux entretiens, le 2 et 8 avril, où il livre son expérience de président provisoire ; sans cravate mais néanmoins dans le décorum de l’ancien bureau de Ben Ali, transformé en salon présidentiel.
Le futur Conseil Constitutionnel tunisien sera dénommé : la Cour Constitutionnelle ou le Tribunal Constitutionnel comme le laisse apparaître le deuxième brouillon du projet de la future Constitution tunisienne présenté le 14 décembre 2012 par le rapporteur général de cette Constitution : Habib Khedher.
TUNIS (AFP) – Le président tunisien Moncef Marzouki a été entendu jeudi comme témoin dans l’affaire du meurtre du leader de gauche, Chokri Belaïd, les proches de la victime estimant qu’il dispose d’informations sur le commanditaire de cet assassinat à l’origine d’une grave crise politique.
Le premier président de la Cour des comptes, Abdelkader Zgolli, a remis mardi aux trois présidences, le 27e rapport annuel de son institution pour l’année 2011. Ce document compile les résultats de 21 missions de contrôle de documents et de visites de terrain…
Le rapport annuel de l’ONG Transparency International publié le 5 décembre pointe une dégradation de la perception de la corruption en Tunisie et plus généralement dans les pays du Printemps arabe. Tous ces pays enregistrent des scores inférieurs ou à peine supérieurs à 40 points.
La compagne #Ekbes est une compagne qui fait le buzz sur la toile depuis quelques jours . Lancée par des jeunes nahdhaouis, la compagne vise à faire pression sur le gouvernement pour le pousser à mieux travailler sur les dossiers de réforme, ainsi que pour l’obliger à assumer ses responsabilités…
Alors que les travaux de la Constituante progressent, le débat s’annonce tendu sur la nature du régime. En jeu, notamment le rôle et le mode d’élection du Chef de l’Etat. On parle de régime parlementaire modifié, de régime mixte, de régime semi-présidentiel. La Tunisie s’apprête à se lancer dans un grand débat, autant essayer d’en comprendre les tenants et les aboutissants.
Dans la même veine que la déclaration de Abdelwaheb Maater, Ministre de l’emploi, ayant affirmé un jour que sa fonction n’avait jamais été “la recherche de l’emploi” pour les chômeurs, nous avons eu droit le 21 juin dernier a une sortie de Moncef Marzouki expliquant que “La Tunisie n’a aucun avenir en Tunisie.
La semaine qui vient à peine de s’achever a vu la toile vivre une intense effervescence suite à l’affaire de l’extradition de Baghdadi Mahmoudi vers la Libye. Une affaire qui a engendré une crise au sein de la sphère politique tunisienne…
Depuis le 15 janvier 2011 la Tunisie vit sous le régime de l’état d’urgence. A cette époque le Président venait de fuir le pays et le désordre était partout. Difficile alors de conserver le fonctionnement de l’administration, de préserver la sécurité de la nation, de continuer à vivre normalement.