Révolution 685

Abdessalem Jrad DEGAGE ! Hamma Hammami DEGAGE ! Rached Ghannouchi DEGAGE ! etc.

Après la chute des plus grands symboles du régime de Ben Ali, d’autres symboles de l’ère Ben Ali doivent aussi suivre pour que la Tunisie libre trouve enfin son chemin sur un nouveau terrain vierge et pour que la nouvelle Tunisie se construise avec les forces vives qui ont fait sa révolution. Apres les grandes têtes du Gouvernement et du RCD, c’est de l’autre versant qu’il faut maintenant commencer le ménage.

Tunisie – Départ de Ghannouchi : Les Conclusions à Tirer

Alors que pour les uns, le départ de Ghannouchi aura marqué la fin de la Révolution, pour les autres la journée du 27 février 2011 sera au contraire le véritable point de départ de la Révolution. Du passé, table rase sera faite Plus que tout autre symbole de cette rupture, le départ de M. Ghannouchi va marquer un bouleversement en profondeur de l’histoire du pays.

L’heure est à l’union !

Et voilà Ghannouchi démissionner. Mais, cela peut-il prémunir la Révolution tunisienne contre les tares de l’après-17 décembre ? Les différents protagonistes de la place n’ont pas les moyens de leurs ambitions, aussi sincères et aussi fidèles aux principes de la Révolution soient-elles.

Plus que jamais, la Tunisie a besoin de réconciliation pour une vraie démocratie

Un mois et demi se sont déjà écoulés depuis la fuite de Ben Ali. Et comme le pensaient la pluparts de ceux qui ont la tête sur leurs épaules, cela ne suffisait pas à redonner à la Tunisie sa brillance tant voulue. Le problème de la Tunisie n’est pas Ben Ali seul, mais tout un système, une démagogie, un savoir faire, une manipulation, des cadres hauts placés qui tirent profits de leurs sièges et surtout une mentalité tunisienne qui s’est attaché durant des années au culte de la personne, contre une personne ou pour une personne

L’article 39 de la Constitution Tunisienne

Le suédois Johan Petter Johansson avait inventé la clé à molette. Cet outil remarquable a l’avantage de permettre une ouverture adaptable des mâchoires de la clé suivant la tête de la vis. Il semble que l’article 39 de la Constitution Tunisienne a les mêmes qualités puisqu’il possède des mâchoires réglables au gré de la tête d’écrou se trouvant au sommet de l’Etat, qu’il soit un président élu à ce titre ou qu’il soit un président intérimaire. Ont-ils les mêmes vertus ?

Tunisie : L’insurrection Reprend

On veut bien croire que le Ministre de l’Intérieur Mr Rajhi a assainit ne serait-ce que relativement l’organigramme de la police. Il n’en a pas pour autant changer radicalement son comportement violent et délétère comme cela aurait dû être entamer.

Quelques précisions sur la Commission Nationale tunisienne sur la Réforme

Par Fawziya Mohamed – Nous allons donner quelques précisions sur les membres qui composent la commission tunisienne sur la Réforme, notamment sur son Président Yadh Ben Achour, sur Slim Laghmani, sur Rafaa Ben Achour, Horchani, etc. D’abord, en juillet 1990, Yadh Ben Achour avait été élevé par Ben Ali au grade de Commandeur de l’Ordre de la République, une haute distinction offerte par Ben Ali à Yadh Ben Achour.

La rue dit à Alya Hamza : Dégage !

Par Des lecteurs indignés – Réponse à l’article de Alya Hamza, injurieux pour la révolution, paru dans « La Presse de Tunisie » lundi 21 février 2011, en page 7, sous le titre « maintenant, ça suffit ! » : On croyait la mercenaire de la plume bien connue, Alya Hamza, à jamais disparue de la scène médiatique avec ses maîtres sanguinaires Leila et Zine El Abidine Ben Ali. Et voilà qu’elle a le cynisme de reparaître dans la Presse du 21 février …

“Démocratisation” néo-libérale du monde Arabe, projets pilotes en Tunisie et en Egypte

Par Takis Fotopoulos – En Egypte et en Tunisie, l’impensable s’est produit. Pour la première fois les pays arabes ont réussi à déraciner des régimes impitoyable et despotiques soutenus par l’élite transnationale, par des insurrections, et non pas, comme d’habitude, par coups d’État. Tout a commencé en Tunisie, où son peuple a été le premier dans le monde arabe à descendre dans la rue et renverser un dictateur efficace.

Tunisie : Dialogue de sourds et Prêche dans le désert

Par Salah Kedidi – Depuis quelques jours, des gens découvrent le besoin de s’exprimer sur les ondes, sur les écrans, sur la toile ainsi que sur les pancartes que l’on brandit pendant les manifestations, grèves et sit in. Les articles foisonnent sur les colonnes des quotidiens, des hebdomadaires, des magazines et autres publications électroniques.

الشعر و واجب الصراخ

لا ندري أي عمق أصاب هذا الشاعر “في العمق” حتى يتجاوز رحى الثورة الدائرة أمام عينيه إلى عمق شعري نلمسه في شعره الذي منه كتابه “غيمة في سروال”. بينما لم يستطع الشاعر التونسي أن يكون أعمق مما يدور أمام مبنى تلك الوزارة ، وزارة الداخلية، وقد اقتنع أن الوقوف أمامها والصراخ في وجهها ما هو سوى عمق العمق.