تحية لِبَنزينك، تحية لْنارك
تحية للهلالية اللي أخدوا بتارك
من الزناتي بن علي
عقبى لموميا مبارك
 
				 
				La Révolution des jasmins est une révolution qui a été initiée et conduite par les jeunes. Les forces politiques essayent de suivre ; les intellectuels, moi compris, sont abasourdis par un événement qui nous ne pouvions imaginer dans les plus beaux de nos rêves.
 
				“Si quelqu’un est apte à établir des institutions, ce qu’il établi ne va pas durer longtemps s’il repose sur les […]
 
				Aujourd’hui j’ai tenté de prendre l’avion pour Tunis, en vain. Alors je me suis dirigé vers le centre Lyon où une manifestation de tunisiens a été organisée à 19h. J’ai constaté des choses que je veux reporter à tout le monde. J’arrive par le métro, je remonte à la place bellecour. Une petite foule, était là fredonnant l’hymne national, mon cœur s’est déchiré, ils ne connaissent même pas les paroles, pas toutes les paroles en tout cas; une foule impossible à maitriser ou même à guider. Je remarque n’empêche, que 2 jeunes essayent de faire un cercle, pourquoi??
 
				Imprévisible, foudroyant, exaltant, historique… Voilà comment on pourrait qualifier ce que l’on peut désormais appeler la Révolution Tunisienne. Une révolution particulière mené par un peuple particulier, riche par son Histoire et dont on loue l’ouverture d’esprit et son caractère pacifique.
 
				Le soulévement populaire qui secoue l’ensemble de la Tunisie depuis près de trois semaines étonne et surprend le monde entier par sa nature spontanée, sa propagation rapide et la radicalité de ses revendications. C’est lentement et en scilence que le combustible de cette contestation a été accumulé et alimenté par le régime en place depuis 23 ans.
 
				Gabes qui pendant 20 ans a été terrorisée et manipulée par des tirants et des traitres. Vous ne trouverez que peu d’informations sur Gabes car personne ne peut plus parler, puisque tout le monde est surveillé. Depuis plusieurs jours, il y a eu des manifestations à Gabes, mais hier le bilan était trop sanglant, plus de 13 morts à Gabes ville, plus de 5 dans la délégation de ElHamma, 2 dans la délégation de Menzel ElHabib et encore, mais personne ne communique : les faits …
 
				Je me suis exprimé hier soir avant le discours présidentiel dans une première lettre aux Tunisiens. L’allocution d’hier soir change la donne et appelle une réponse. Hier soir sur TV 7, je n’ai rien vu d’autre qu’un 7 Novembre Bis. 23 ans après, Ben Ali nous a refait le coup du « Les Tunisiens sont matures pour la démocratie, plus jamais de présidence à vie ».
 
				Diverses sources ont affirmé que les casseurs et pilleurs étaient en réalité des agents mandatés par la Police et par les cellules locales du RCD (parti au pouvoir). Parmi ces témoignages se trouve celui publié par Nawaat.org dans lequel un responsable du RCD repenti expliquait que dès le début de la révolte les agents de la police avaient saccagé des bâtiments privés et publics et avaient exercé des violences à l’égard de la population
 
				Nous sommes seuls, isolés et dans la colère et l’inquiétude. Nous faisons face à un régime qui se trompe de siècle et de pays. Cette révolte des Tunisiens, aucun parti politique, aucune organisation ou association, aucune figure de l’opposition ou du parti ne peuvent la revendiquer ou se prévaloir d’en être les initiateurs.
Entretien avec Moncef Marzouki, médecin et homme politique tunisien. Il dirigea la ligue tunisienne des droits de l’Homme, et préside depuis 2001 le Congrès pour la république. Il est l’auteur de Dictateurs en sursis. Une voie démocratique pour le monde arabe, éditions de l’Atelier, 2009. Comment devient-on opposant ? Moncef Marzouki : Ce genre de système ne laisse pas d’alternatives. […]
[…] De la découverte de réserves pétrolières au début du XXe siècle à la crise du nucléaire actuelle en passant par le coup d’État américain de 1953 qui réinstalla le shah au pouvoir et la révolution islamique de 1979, le documentaire retrace cent ans d’histoire d’un pays partagé entre religion et révolution moderniste, soumission et indépendance. […]
 
						L’Orient, c’est sûr. Mais ni méditerranéen ni asiatique. Persan, donc. Premiers pas dans Téhéran, hululante de stridences et de klaxons, zébrée d’autoroutes, de passerelles et d’échangeurs. Un caprice urbanistique du shah dans les années 50, désormais comateux, époumoné. La révolution a passé, la mégalopole continue de se rêver Los Angeles […]
CAIRO — Egyptians are using the online social networking tool Facebook to defy the government’s attempt to muzzle the media […]
Dans la langue liste des domaines où la Tunisie tient les premières places mondiales, on peut aisément rajouter le privilège […]
La politique, dans sa définition la plus noble est synonyme d’action et de proposition. Toute prétention politique doit forcement s’accompagner, […]