Bien que rétabli dans son rôle de bureau exécutif « légitime » du SNJT, au lendemain du 14 janvier 2011, il semble que le lourd héritage répressif de la profession n’a pas fini de nourrir les dénis et les dissensions opposant encore aujourd’hui les journalistes, y compris à l’intérieur des structures syndicales, alors que la bataille de la liberté vient à peine de commencer.
