Depuis 2015, les stocks de lait affichent une surcharge inédite qui ont poussé, tardivement, les autorités à réagir. Une réaction qui se limite à la gestion ponctuelle de la crise en faveur des industriels privés. Selon Omar Behi, secrétaire général de l’Union tunisienne de l’agriculture et de la pêche, les éleveurs de bovins ont perdu près de 41 millions de dinars l’année dernière. Histoire d’une richesse nationale gaspillée par la mauvaise gestion et l’absence de vision stratégique.
