Le grand William Shakespeare n’était pas le premier à s’être crié que l’on pouvait être malade de pouvoir. Il ne devrait, hélas, pas être le dernier non plus. Monsieur Caïd Essebsi vient de lui donner la réplique ! Ne consentant visiblement toujours pas à aller se reposer, et restant, à bientôt quatre-vingt-dix ans, toujours accroché à son diadème d’homme politique comme le ferait un enfant pour son nounours.
