La première activiste tunisienne de Femen a enfin pu s’exprimer via internet dans une vidéo filmée par l’activiste Shevchenko après plus mois de spéculations, confirmant son enlèvement dans un café à Tunis, orchestré par son oncle et son cousin.

La première activiste tunisienne de Femen a enfin pu s’exprimer via internet dans une vidéo filmée par l’activiste Shevchenko après plus mois de spéculations, confirmant son enlèvement dans un café à Tunis, orchestré par son oncle et son cousin.
Chaque semaine, nous essayerons, dans cette chronique, de résumer l’actualité économique nationale, afin d’avoir une vue d’ensemble et ne pas se noyer dans la masse gigantesque d’informations disponibles et de pouvoir, assurer ainsi, le suivi des projets annoncés.
Le groupe Femen a publié ce matin un message sur sa page facebook avec photo annonçant la fuite de Amina […]
De quoi s’agit-il? De cette agitation à laquelle on assiste dans le pays, et surtout à l’intérieur de nos administrations, au nom d’une soi-disant immunisation des acquis de la Révolution et qui n’est, au vrai, qu’une stratégie d’asphyxie lente et méthodique de l’Administration tunisienne dans ce qu’elle a de meilleur : son professionnalisme et sa neutralité politique.
La Révolution tunisienne était le résultat d’un long processus qui se présente comme une métamorphose profonde qui a marqué notre quotidien. De ce point de vue, une lecture psychanalytique de ce grand moment s’impose avec beaucoup d’acuité pour ne pas se limiter à une approche descriptive car on n’est pas encore habitué à parler de la mémoire collective, même par métaphore.
Un an après une répression aussi féroce qu’incompréhensible, le 9 avril était cette année particulièrement attendu. De l’eau a coulé sous les ponts depuis, mais la veille de la 75ème commémoration de martyrs, les déclarations d’Ali Larayedh, totalement dans le déni, ne font rien pour apaiser le traumatisme d’un épisode noir de l’après révolution.
Le nouveau ministre de l’Intérieur Lotfi Ben Jeddou a procédé cette semaine à des changements dans son ministère.
Après la division du bloc Wafa, venu le temps de la dissolution du bloc “Liberté et Dignité”. En effet, le 11 avril 2013, la vice-présidente de l’Assemblée Nationale Constituante Meherzia Laabidi a annoncé la dissolution officielle du bloc parlementaire Liberté et Dignité (Horriya waKarama)[1]. Passant de 15 membres depuis sa création à 8 seulement, le bloc a fini par se dissoudre.
En Mars 2013, voici qu’éclate la crise financière de Chypre. Ce pays a moins 1,5 millions d’habitants, mais il est très probable que les effets de cette crise vont s’étendre au reste de la zone Euro dans quelques mois, à la faveur d’un recul boursier ou d’un problème politico-financier quelconque dans la zone Euro.
Il est certainement crucial de lancer un processus de lutte contre la violence nécessitant une intransigeance officielle à l’encontre des fauteurs de troubles et des instigateurs. Néanmoins, il est indispensable de prendre des mesures sociales et économiques au profit des couches populaires pour installer un climat de paix sociale nécessaire à toute transition démocratique capable d’unifier le peuple contre toute atteinte à ses acquis révolutionnaires et ses aspirations.
Plusieurs données très importantes ont été présentées samedi 6 avril lors de la conférence de presse organisée par les membres de la commission du 4 décembre non affiliés à Ennahdha et au gouvernement.
Alors que la transition démocratique est en péril, que la situation économique critique et le climat politique putride, Moncef Marzouki, […]
Tahar Ben Haasine, le propriètaire de la chaine Al Hiwar Ettounsi devait être entendu par le juge d’instruction du 18ème […]
Le culte de la richesse s’accompagne d’une apologie de l’individu face aux institutions et à l’Etat. C’est ce qui explique le succès de la culture managériale américaine au sein des Frères.
Le FMI propose un plan d’austérité qui inclut un programme d’ajustement structurel aux conséquences sociales néfastes visant à diminuer les subventions sur l’énergie, pour toucher ensuite les produits de premières nécessités tel que le pain.
S’il est difficile de savoir si le nombre d’agressions augmente, on peut affirmer que la parole se libère, permettant ainsi d’espérer un changement dans les mentalités et une meilleure prise en charge des victimes.
Alors qu’une campagne de boycott a été lancé contre son nouveau livre « L’invention d’une démocratie, les leçons de l’expérience tunisienne» par des éditeurs tunisiens*, Marzouki rencontre pour l’occasion des journalistes du Parisien et de France Culture pour deux entretiens, le 2 et 8 avril, où il livre son expérience de président provisoire ; sans cravate mais néanmoins dans le décorum de l’ancien bureau de Ben Ali, transformé en salon présidentiel.