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Femmes tunisiennes : pourquoi s’engagent-elles en politique ?

A l’occasion du 8 mars et alors que beaucoup en Tunisie se remettent à douter de l’intérêt que l’engagement en politique peut avoir, il a semblé intéressant de donner la parole à quelques femmes qui sont dans le domaine. Ghada Louhichi, Mehrezia Labidi, Zeineb Turki et Emna Menif expliquent pourquoi elles ont voulu s’engager et pourquoi les femmes doivent être présentes dans ce domaine.

Et si on se référait à la volonté du peuple pour décider de la prétendue légitimité d’Ennahdha.

Une quasi unanimité règne chez les observateurs avertis au sujet de la journée historique du 8 février 2013, celle des funérailles de Chokri Belaid. Le magma humain qui a envahi Tunis à l’occasion des adieux au martyre témoignait d’un scrutin populaire mille fois plus expressif que celui du 23 octobre 2011. Un million quatre cent mille Tunisiennes et Tunisiens étaient là de leur plein gré pour dire qu’ils ont vomi Ennahdha et ses appendice

Mostapha Ben Jaafer sur France 24 : le déni en bloc d’une crise politique en Tunisie

A travers l’entretien du Président de l’Assemblée Constituante Mostapha Ben Jaafer sur France 24 le 5 mars, le 5 mars, nous avons appris des choses que M. Ben Jaafer n’avait pas dévoilé dans les médias tunisiens jusqu’à maintenant. Ainsi nous apprenons que la Constitution sera prête au mois d’avril 2013, qu’il n’y a pas de crise politique en Tunisie…

La dette extérieure de la Tunisie 1970 – 2010. Par II : Du Mensonge à l’appauvrissement de la Tunisie

La seconde partie, éminemment plus technique aborde désormais les mécanismes d’appauvrissement par la dette extérieure sous et après le régime dictatorial de Ben Ali. Il est également question de révéler, outre les responsabilités du despote, de pointer du doigt les créanciers qui se sont outrageusement enrichi sur le compte des tunisien.

Distribution : Daadaa, le vieux démon de la presse

À cinq heures, le matin, même le dimanche, quelques dizaines d’hommes en pleine énergie travaillent depuis des heures à rue Bab El khadera sous Sabat El Jazira, à Tunis. Au milieu de la petite foule fourmillante, un vieil homme, presque nain, donne des ordres, salut des uns et gronde d’autres. Il est le chef. Personne ne peut douter de son pouvoir sur ces dizaines qui viennent tous les matins remplir leurs voitures de nouveaux stocks de papiers. Depuis des dizaines d’années, la société de Daadaa pour la distribution, ne dort pas la nuit pour servir l’information chaque matin.

Au coeur des salles de marchés : Témoignage d’un ex-trader tunisien

Je me rappellerais toujours de ce début du mois d’Aout 2007. Je n’avais qu’un seul rêve : Rejoindre l’équipe de trading de volatilité de la banque B. Je les voyais avec de gros yeux et j’étais fasciné par ce métier impressionnant qui jonglait entre des équations mathématiques super complexes et une vérité financière tenue secrète. C’étaient les meilleurs et forcément les mieux payés.

Tunisie : Manoeuvre de politicards

Au jour d’aujourd’hui, Ennahdha est prête à réviser toutes ses options et faire marche arrière quant à ses sacro-saintes convictions idéologiques, prétentions politiques et même ses ambitions de transformer la société par le bas en vue d’instaurer le grand projet d’un pouvoir théocratique.

Un Etat mendiant et un peuple qui s’appauvrit : Explication très simplifiée du prêt FMI

Dans cette spirale infernale de la dette, où nous contractons une dette pour en payer une autre avec des taux d’intérêt de plus en plus élevés – compte tenu de la dégradation de la note par les agence de notations comme Moody’s, Standard and Poor’s and Fitch rating – il est important de se poser les questions suivantes : Jusqu’où allons-nous avec l’endettement et où va l’argent ? Les cessions que le gouvernement est en train de faire ne sont-elles pas suffisantes ?