World 609

Haniya en Tunisie : Tourisme de l’extrême ?

Ismail Haniya a effectué une tournée en Tunisie : visite du gouvernorat de sidibouzid; organisation d’un meeting à Sfax dans une salle de sport de la ville pendant lequel certaines personnes de l’assistance ont scandé mort a Israël; prêche a la mosquée Okba Ben Nafaa a Kairouan au cours duquel il a incité les gens à ne pas craindre les Etats Unis ainsi qu’à combattre Israël ! Il a soldé son séjour en Tunisie par un grand meeting à la coupole en présence de milliers de personnes.

كتلتي المعارضة في سوريا يزوران تونس

برئاسة هيثم مناع حل وفد من هيئة التنسيق الوطنية لقوى التغيير الديمقراطي بتونس والتقوا يوم 8 جانفي كل من المنصف المرزوقي و وزير الشؤون الخارجية رفيق عبد السلام وطرحوا وجهة نظرهم في ما يتعلق بالتغيير في سوريا في محاولة لتجنب ما سموه الذهاب بسوريا الى المجهول معتبريين ان تدويل المسالة سيادي الى تدمير سوريا.

Un an de blogging, de menaces et de silence

Par Jillian C. York – […] Cependant, les gouvernements se sont rendus compte également de cette nouvelle donne et ont réagi en réprimant brutalement les blogueurs. Ce qui était exceptionnel il y a cinq ans est devenu banal aujourd’hui avec des arrestations de blogueurs qui font de temps à autre les gros titres […]

Turkish “democracy”: The two articles that caused the firing of Turkish journalist Ece Temelkuran

[Editor’s Note: Here are two articles written by one of Turkey’s best-known journalists and political commentators Ece Temelkuran in which she criticized the regime’s repressive policy towards journalists and its militaristic policy towards Kurds, a policy that culminated recently in the Uludere massacre that killed over 35 people among them 19 kids. Ece Tumlekuran’s articles were published last week on her former newspaper Habertuk and resulted in her firing from the newspaper under what seemingly was a political pressure from the political establishment.]

La realpolitik Française : Le cas flagrant de la Tunisie!

Par Ahmed Chaari – Face aux changements successifs survenus dans la scène politique tunisienne, la France (on entend ici par le gouvernement français) a dû revoir sa politique extérieure plus qu’une fois. Du soutien infaillible et jusqu’à la dernière minute à Ben Ali, passant par un discours sceptique et avertissant à Ennahdha juste après les élections, elle arrive aujourd’hui à une politique de félicitations presque anticipées du président Marzouki ainsi qu’à certains membres du gouvernement Jebali.

Les étudiants étrangers et la France selon Guéant…

Bien que Nicolas Sarkozy ait toujours défendu la politique de l’immigration choisie, la circulaire Guéant qui vise à réduire l’immigration professionnelle pose problème. Il s’agissait originalement de durcir la possibilité des ‘’changements de statuts’’, d’étudiant à salarié. Cette mesure que les étudiants étrangers ont qualifiée d’ « injuste », prend une tournure exceptionnelle en cette année décisive car électorale. […]

Lettre ouverte à Monsieur Bernard Debré, Député UMP

Mr Debré commence donc une lettre d’indignation par rappeler à M Marzouki l’accueil qu’il a eu en France au moment où il était poursuivi par le régime de ben Ali. On peut donc sentir l’amertume de l’auteur face à ce qu’il considère comme une ingratitude envers son pays. Toutefois, en quoi consiste cette ingratitude? On verra par la suite que ce n’est rien d’autre qu’une “critique adressée à certains intellectuels et politiciens français” et une affirmation claire et nette que la donne a changé quant aux relations bilatérales. […]

Lettre à Barack Obama, Président des États-Unis

Par Mondher Smida- D’après l’économiste russe, Alexander Nahum Sack, la dette d’un pays n’est pas légitime quand un régime despotique emprunte: a) “pour renforcer ses pouvoirs, pour combattre le soulèvement de son peuple, etc.” b) “à l’encontre du bien du peuple ou des meilleurs intérêts de l’Etat,” et c) “avec la participation de créanciers informés de la situation.”

La vérité sur la révolution tunisienne en dix points : Pour une lucide mise en perspective

Dans l’ère de nouvelle liberté soufflant sur la Tunisie, on commence à mieux distinguer, par recoupements successifs, la réalité de ce qui s’est passé en Tunisie, les causes immédiates et médiates de la révolution pour la dignité et la modernité politique, cette révolution que j’ai toujours nommée à dessein Coup du peuple pour être en phase avec la réalité que je supputais déjà.

Les « Foutouhat » qataries en Afrique du Nord

La montée en puissance du Qatar sur la scène politique arabe n’est plus à démontrer. Le minuscule émirat dont la population ne dépasse pas celle d’un quartier du Caire ou de Bombay est sur tous les fronts. Après avoir pris part à la répression de la révolte bahreïnie, il a été le seul pays arabe à apporter un soutien militaire et matériel à l’insurrection contre Kadhafi. Après avoir proposé sa médiation au Yémen, donné sa bénédiction à la Tunisie de Ghannouchi, opéré un rapprochement avec les Frères musulmans d’Egypte, le voilà qui, aujourd’hui, conduit l’orchestre dans la partition syrienne et, selon certaines sources, préparerait un changement en Algérie ?

La grande vadrouille de la diplomatie tunisienne

Aujourd’hui en Tunisie, le régime de Ben Ali est tombé dans l’oubli, emportant avec lui l’injustice et la corruption sociale. Depuis le 14 janvier 2011, les tunisiens se sont libérés et montrés dignes de cette « offrande » méritée ; ils se sont mis à l’œuvre et ont réussi en un temps record, après neuf mois, leurs premières élections libres de l’Assemblée Constituante, la plus importante institution légitime après la révolution.

La rhétorique du diable

Pour comprendre ce qu’il se trame, il faut se tenir très proche de ses ennemis…Quel est ce serpent du Moyen-Orient qui siffle sur nos têtes ? Quel est ce nouvel Islam qui tente de s’installer chez nous et qui cherche à détrôner le culte bien tranquille de nos mères et de nos grands-mères ?