Après avoir mis en place avec succès les instances politiques du pays, à savoir la Présidence de la République, le gouvernement et l’organisation interne de l’assemblée constituante, les élus du peuple commenceront bientôt la rédaction de la constitution de la deuxième République. L’article 1 sera immanquablement le premier sujet lancé au débat et suscitera sans aucun doute beaucoup de divergences, de déchirements et de polémiques.
Pour qui va-t-on voter ? Ennahdha ou R.C.D. ?
Il est certain que parmi les nahdhaouis, beaucoup en font parti parce qu’ils croient sincèrement qu’un parti qui adopte les valeurs de l’islam ne peut que privilégier l’intérêt suprême du pays, et combattre la corruption, le mensonge et l’injustice. Or, pour tous ces modérés d’ Ennahdha, il est maintenant clair que leurs leaders politiques, mentent à tout bout de champ et nient avoir parlé à des journalistes sionistes, alors qu’ils projettent « attatbiî », ou la normalisation de nos rapports avec Israël
L’Alzheimer politique des élites tunisiennes
Dans un manifeste se voulant hors des poncifs habituels dans lesquels l’on se complaît aisément en traitant de la prise […]
Beji Caid Essebsi veut une quatrième vie politique, quitte à tuer la démocratie !
Hélas, Beji Caid Essebsi, le ministre à triple vies politiques (plusieurs fois ministre sous Bourguiba, Président de l’assemblée nationale sous Ben Ali et Premier Ministre sous Foued Mbazaa), soutient l’opposition dans ses démarches et veut retourner coûte que coûte au pouvoir, sans même patienter jusqu’à la prochaine échéance électorale. Il s’imagine, de surcroit, comme un parrain de la Tunisie, un sauveur de la nation. Ça ne lui a pas suffit de contribuer, dans une certaine mesure, à l’échec de la première République ; il veut interrompre le processus démocratique bien lancé et très promoteur en Tunisie.
الحكومة أمام المجلس التأسيسي: بداية لاستخلاص الدروس فهل ستتواصل؟
من سيكتب الدستور في تونس؟
ديمقراطيتكم لا تشبع بطوننا فلا علاقة لها بمصلحة الشعب
مسؤولية الحكومة : إيقاف التدهور واستخلاص الدروس
إجهاض المسار الديمقراطي من المستفيد ؟ وماذا يريد ؟
إذا كان التشخيص هدفه الوصول إلى نتيجة تقرب من توصيف الواقع فإن الأمر يدعونا في هذا المقام إلى استبعاد الحيثيات غير ذات الأولوية …أي دعنا نتخلص من التوصيفات الحزبية والسياسية والثورية وما يحوم حولها علنا نهتدي إلى قراءة للواقع بعيدة عن الترف الفكري والحسابات والمحاصصة الضيقة المجردة من توزيع نياشين الوطنية والثورية والإيديولوجية”.
جندوبة و نزيف الإعتصامات
Renaissance de Carthage, d’Ifriqiya, de Kairouan, et de Tounès – Acte II: Immolation du modèle politique – 17-14 décembre-janvier 2011-2012
Tout d’abord, en cette période de commémoration du début du soulèvement populaire en Tunisie, j’aimerais m’incliner de nouveau devant tous […]
كلمة في الثورة التونسية في الذكرى الأولى للثورة التونسية : التحدّيات و العوائق
One Year after Revolution: How Far has Tunisia Changed?
By Afef Abrougui – Tunisians have started to enjoy new freedoms and political rights: freedom of expression, and the right to assembly and protest. More than 100 political parties and hundreds of NGOs made of Tunisia a pluralistic country par excellence. […]
و إذا الحكومة سئلت بأي ذنب أقتت
Tunisie : La création d’un “Parti Unique” est-ce une bonne idée ?
A l’approche des élections du 23 Octobre 2011, on se souvient encore des demandes pressantes et de la volonté d’une […]
نحو عقد اجتماعي لبناء نظام ديمقراطي جديد في تونس
ما وراء اليمين و اليسار
Tunisie : Les citoyens et les ‘nouveaux politiciens’.
Tous les membres d’Ennahdha, du CPR, d’Ettakatol (Jebali, Ghannouchi, Dilou, Laaridh, Ben Salem, Marzouki, Ayadi, Ben Jaafar, etc etc), ces ‘nouveaux politiciens’, oui ‘nouveaux’ puisqu’eux même déclarent manquer d’expérience et de pratiques politiques démocratiques, donc ces ‘nouveaux politiciens’ qui ont subi les injustices de l’ancienne dictature ne savent peut-être pas qu’avant la chute de Ben Ali, ils ont toujours bénéficié de la solidarité, de la sympathie et du soutien de simples citoyens tunisiens, des hommes et des femmes qui étaient loin de tout militantisme politique. Certains exprimaient pleinement leur solidarité, d’autres la cachaient. Certains ont aussi pris des risques pour les défendre ou pour faciliter leurs actions en le payant cher à leur tour, immédiatement ou quelques années plus tard.