Rarement semaine politique n’a connu pareil festival de couacs gouvernementaux en tous genres. En marge de la séance plénière du 3 avril à l’Assemblée consacrée aux questions au gouvernement, les divergences de vues entre ce qu’il est communément appelé « la gauche de Nidaa Tounes » et son aile destourienne se sont traduites par un incroyable cafouillage au plus haut sommet de l’Etat. Les rumeurs de démission se multiplient.
