La Tunisie a enfin une instance pour réguler le pouvoir judiciaire et remplacer l’ancien Conseil Supérieur de la Magistrature mis en place par le dictateur déchu Zine El Abidine Ben Ali.

La Tunisie a enfin une instance pour réguler le pouvoir judiciaire et remplacer l’ancien Conseil Supérieur de la Magistrature mis en place par le dictateur déchu Zine El Abidine Ben Ali.
Il est toujours délicat de commenter de grandes mutations historiques sans le recul nécessaire à cet exercice. Il est encore plus difficile de réagir à chaud face à un évènement majeur aussi complexe que le « Tamarrod » égyptien et ses répercussions sur le paysage politique tunisien, les destinées des deux pays étant intimement liées depuis les révolutions de 2011.
Pour ou contre la destitution du Président égyptien Morsi par l’armée ? Est-ce un coup d’Etat ou pas ? Le débat fait rage en Tunisie. Pour certains, ce qui qui se passe en Egypte est jouissif car chasser, à tout prix, les islamistes du pouvoir est nécessaire. Pour d’autres, c’est un coup d’Etat militaire et les avis sont encore plus partagés
2013 باردو في 4 جويلية بـــيـــان ان المرصد التونسي لاستقلال القضاء المجتمع بتاريخ 4 جويلية 2013 في اطار هيئته المديرة […]
Dans un communiqué publié aujourd’hui, lundi 1e juillet, la commission de révision de la Constitution dénonce les graves irrégularités qui ont entaché la rédaction de la constitution…
Le retrait inattendu du général Rachid Ammar de la vie « politico-militaire » a donné le la de la dernière semaine du mois de juin, une semaine marquée par un chassé-croisé estival, passe d’armes indirecte avec un président Marzouki qui reprend la main, sur fond d’âpres débats autour de la loi d’immunisation de la révolution.
Le débat sur le projet de loi très controversée de la loi d’immunisation de la révolution a commencé aujourd’hui à l’ANC. Les députés restent encore très divisés sur le texte qui n’a pas encore été voté. Entre révolution et transition, le choix semble difficile.
نظمت اليوم الرابطة الوطنية لحماية الثورة وقفة احتجاجية أمام المجلس التأسيسي لمطالبة بتفعيل قانون تحصين الثورة و تسريع تمريره.
Dans un communiqué du ministère de la justice, Le Procureur de la République de Tunis a annoncé qu’il a ordonné, ce mardi 25 juin, l’ouverture de deux instructions judiciaires, l’une concerne l’affaire connue sous le nom de EssebsiGate en relation avec la vente des parts de Slim Chiboub dans la société Voyageur et la deuxième, suite aux accusations portées par Daren Stevenson contre le gendre de Ben Ali et des hauts fonctionnaires publics, lors de son passage dans l’émission Labes sur la chaine Ettounoussya.
L’association Al Bawsala vient d’ajouter aujourd’hui un nouvel onglet sur son site Marsad.tn relatif à la transparence des députés au niveau de leurs rémunérations et de leurs biens. En effet, des députés tels que Karima Souid ou Meherzia Labidi ont même commencé à donner des informations concernant leurs patrimoines.
Les congrès se suivent et se ressemblent à Tunis. Aligner chaises et VIP à la tribune du Palais des congrès ou encore à l’UTICA suffit-il à régler les grands débats de société ? Quand bien même elles promettent des comités de suivi, ces réunions pleines de bonnes volontés commencent à lasser.
L’ONG Al Bawsala fête aujourd’hui son premier anniversaire. Pour sa présidente, Amira Yahyaoui, qui a mis en place le projet marsad, un observatoire de la constituante, le chemin est encore long vers l’adoption du projet de constitution et les prochaines élections.
Soixante-quatorze partis et plus de trois cent associations ont participé au congrès contre la violence et le terrorisme qui s’est déroulé à Tunis les 18 et 19 juin et qui été organisé par la Ligue Tunisienne des Droits de l’homme, l’Institut arabe pour les droits de l’homme, l’ordre des avocats et l’Union générale des Travailleurs Tunisiens…
في هذا الفيديو قمنا بحوار مع السيد عمر الوسلاتي، مقرر لجنة الانتخابات للهيئة الوقتية للقضاء العدلي، ليوضح دور هذه اللجنة و أهمية الانتخابات لعضوية الهيئة الوقتية للقضاء العدلي للقضاة وللأساتذة الجامعيين التي ستدوم من 17 إلى 24 جوان 2013.
Alors que deux affaires judiciaires ont condamné fermement la liberté d’expression la semaine dernière à Tunis, le cas d’Ayoub Messaoudi met en cause un autre sujet délicat: la liberté de critiquer l’institution militaire. L’homme, dont le procès contre Rachid Ammar et Abdelkrim Zbidi continue en cassation le 19 juin, a décidé de faire appel au tribunal international.
S’il est un secteur des moins glorieux de l’ère post révolution, c’est bien celui de la justice. Voilà deux ans que la justice tunisienne de la transition démocratique fait du sur place : qu’elle soit civile ou militaire, chaque fois qu’elle fut testée sur le volet des libertés individuelles et collectives, elle a montré un visage figé, archaïque, en totale inadéquation avec le souffle libertaire inhérent à l’esprit de la révolution.
Lors de notre visite à Kasserine, nous avons rencontré la famille de l’adjudant-chef Mokhtar Mbarki, tué par ses subordonnés dans la nuit du 2 juin 2013. La version des faits présentée par la famille et les révélations exclusives des débuts de l’enquête du juge d’instruction du Kef révèlent beaucoup de non-dits sur cette affaire.
بعد استقالته من المؤتمر من أجل الجمهورية، عقد اليوم 12 جوان السيد محمد عبو مع أعضاء الحزب الجديد “التيار الديمقراطي” الندوة الصحفية الأولى للإعلان عن تأسيس الحزب. تجدون في هذا التقرير حوصلة لأهم ما جاء خلال الندوة.