Tel que signalé, ce partenariat de mobilité vise « une meilleure gestion de la circulation des personnes » entre les deux rives de la méditerranée. Tel que résumé dans la plupart des médias, ce partenariat prévoit une facilitation d’obtention de visas pour les Tunisiens et une meilleure lutte contre la migration irrégulière. Qu’en est-il réellement ?
