Suite à un désaccord sur le processus décisionnel entre le Board de Nawaat, d’une part, et 11 parmi les collaborateurs de la rédaction d’autre part, lesdits collaborateurs ont choisi de quitter l’équipe de Nawaat en démissionnant.
Suite à un désaccord sur le processus décisionnel entre le Board de Nawaat, d’une part, et 11 parmi les collaborateurs de la rédaction d’autre part, lesdits collaborateurs ont choisi de quitter l’équipe de Nawaat en démissionnant.
Ali Anouzla, directeur d’un site d’informations, a été arrêté au Maroc. De nombreuses personnes crient à la censure. Le point. Le directeur de la version arabophone du site d’information marocain Lakome, Ali Anouzla, a été arrêté mardi 17 septembre 2013 au matin, à Rabat, capitale du Maroc.
Jeudi dernier, lors de la première réunion de la Commission des finances après la reprise des travaux de l’ANC. Les membres de la commission des finances se sont réunis avec une délégation de la Banque mondiale : Shanta Devorajan, nouvel économiste en chef de la BM pour la zone MENA, Antonio Nucifera, économiste en chef de la BM chargé de la Tunisie, ainsi que Erik Churchill, chargé des relations externes de la BM en Tunisie.
Communiqué de presse. Le 16.09.13 La FIJ soutient la grève générale des journalistes prévue mardi en Tunisie La Fédération internationale […]
Reporters sans frontières est soulagée d’apprendre la libération de Zied El Heni, mais regrette que cette remise en liberté n’ait […]
A la fin du mois d’août, la rédaction de Nawaat avait reçu un mail d’une jeune activiste, dénonçant l’arrestation de trois jeunes militants du Front populaire à La Marsa. Selon cette activiste, les jeunes militants avaient été enlevés, maintenus arbitrairement en détention puis condamnés en seulement 24 heures. Voici leur témoignage
La semaine dernière un nouveau projet de loi était discuté par la Commission des Finances de l’Assemblée Nationale française. La nouvelle loi permettrait à des associations luttant contre la corruption de se porter partie civile dans des affaires de biens mal acquis. Une avancée législative qui intéresse directement la Tunisie.
Mourad Meherzi, le cameraman d’Astrolabe TV, Nassereddine Shili et son frère ont tous été mis sur écoute suite à la demande de la brigade criminelle de Gorjeni et ce du 17 août jusqu’au 17 septembre, d’après leur avocat Ayoub Ghdemassi. C’est le procureur de la République adjoint M. Kamoun qui, le jour même, a donné son approbation à cette demande de mise sur écoute au président de la brigade Fadhel Melki.
Depuis que la troïka, plus précisément Ennahdha a tenu le pouvoir, au lieu de s’attaquer à la corruption qui gangrène le pays et de se concentrer dans l’écriture de constitution, Ennahdha s’en prend à un ennemi qui n’est point vulnérable et entre gratuitement et bêtement en guerre contre les médias les traitant par « les médias de la honte » (i3lem el 3ar) parce que -selon elle- tous les médias qui n’ont pas manifesté un minimum d’allégeance pour le parti au pouvoir sont considérés comme des traîtres à la révolution, à la démocratie, au choix du peuple et surtout à la fameuse légitimité !
Pendant le processus de production, il est toujours essentiel que l’on se glisse dans la peau de l’homoeconomicus. Ceci parce que l’adoption de l’attitude d’un être calculateur et optimisateur est une forme de garantie pour le bon fonctionnement du système. L’homosociologicus, quant à lui, il ne sait pas créer des richesses et, donc, il doit intervenir uniquement en aval du processus de production afin d’ajouter une dimension humaine au capitalisme qui peut très facilement aller dans tous les sens.
Il y avait de quoi devenir superstitieux vendredi 13 septembre, pour peu que l’on soit un professionnel des médias. Hasard du calendrier ou cabale méthodique, la rentrée politico-judiciaire avait un air de déjà vu…
88% de Tunisiens estiment que l’économie du pays se porte mal et seulement 50% croient en une amélioration pour l’année prochaine. Ils ne sont plus que 30% à privilégier une démocratie solide à une économie forte. Selon une enquête du Pew research center, basé à Washington, le désespoir économique des Tunisiens s’est intensifié depuis 2012.
Avant la révolution, les dessinateurs et les tagueurs tunisiens ne s’exprimaient pas ou peu. Aujourd’hui, dans les rues et sur les réseaux sociaux, ils saisissent à travers leurs slogans ou leurs dessins l’amertume, les déceptions ou le ras-le-bol d’une population désillusionnée.
Les palestiniens partout où ils se trouvent « célèbrent » aujourd’hui, dans la douleur et les exactions de l’Etat Hébreu (2), les tristement célèbres accords du 13 septembre 1993 qui devaient conduire à une paix globale entre Juif et Arabe. Deux décennies sont écoulées, sans que la paix ait retrouvée son chemin.
Le journaliste d’Express FM Zouhaer El-Jiss comparaîtra demain, vendredi 13 septembre 2013, devant le tribunal de première instance de Tunis. Il est accusé, avec le rédacteur en chef et le webmaster de la radio, de diffusion de propos calomnieux et de fausses informations pouvant troubler l’ordre public, et d’outrage au président de la République.
217 incendies, 3 943 hectares ravagés sur la seule période du 1er mai au 26 août 2013 : ce sont les derniers chiffres, alarmants, communiqués par la direction générale des forêts. 60 % de ces feux sont d’origine inconnue. Les acteurs de l’environnement déplorent des pratiques criminelles destinées à s’accaparer illégalement terrains et pâturages ; sans compter de possibles agissements d’ordre politique destinés à semer la confusion ou à occuper les services sécuritaires.
Depuis les évènements du 14 janvier 2011, le pays est en pleine mutation ! Le rôle des médias et la place des journalistes deviennent des enjeux de pouvoir et les réformes engagées dans ce secteur cristallisent souvent les contradictions inhérentes à la nature même de la transition qui a cours dans notre pays.
Le patron de la chaîne tunisienne EttounsiyaTV, Sami Fehri a été libéré mercredi après plus d’un an d’une détention considérée […]