Depuis samedi 17 août, le conseil de la Choura d’Ennahdha, organe décisionnel du parti, discute des options politiques pour engager […]

Depuis samedi 17 août, le conseil de la Choura d’Ennahdha, organe décisionnel du parti, discute des options politiques pour engager […]
C’est la voie de ceux et celles qui veulent vivre dans une société ouverte et tolérante où chacun aurait sa place. C’est la voie de l’avenir sur et un passé obsolète. C’est la voie de la lumière sur l’obscurité. Et elle triomphera.
La marine nationale tunisienne a secouru cette nuit 286 réfugiés qui tentaient d’atteindre les côtes européennes sur des embarcations de fortune. Il se trouveraient parmi eux au moins une dizaine de personnes du camp de réfugiés de Choucha, dont des femmes et des enfants.
Le monde arabe connaît aujourd’hui des mutations profondes et décisives pour son avenir, et les bouleversements provoqués dans ces deux dernières années peuvent se révéler plus cruciaux que les changements de la deuxième moitié du 20ème siècle ; avec les mouvements indépendantistes et l’installation des États modernes.
Si la tragédie égyptienne qui se déroule sous nos yeux aura à n’en pas douter une incidence bénéfique à long terme pour les pro Morsi, les exactions de la junte militaire d’al Sissi ont une incidence positive immédiate inespérée, à quelques milliers de kilomètres de là, pour Ennahdha en quête de sortie de crise.
La crise égyptienne s’invite une fois de plus dans le débat politique tunisien alors que le dialogue entre pouvoir et opposition semble dans l’impasse. Comment l’opposition tunisienne, qui avait en grande partie soutenu la destitution du président égyptien Mohamed Morsi, le 3 juillet, réagit-elle à cette nouvelle explosion de violence ?
Le mode opératoire de Mérah et des tueurs de Belaid dont fait partie Boubaker sont étrangement semblables : tuer de sang froid par balles en scooter. La complaisance du gouvernement Nahdha et même sa complicité dans les meurtres par un réseau d’infiltrations n’est plus à prouver après différentes enquêtes de Nawaat.
Le poids des mots, en apparence évidents, se reporte sur ceux qui les ont adoptés, sans avoir pris la précaution de leur en accoler d’autres qui auraient joué le rôle de garde-fous. L’expérience politique se fait nécessairement au travers de crises et de réponses aux questions qu’elles posent, mais elle ne devient positive que si elle est critiquée et analysée. Autrement, le risque de fuite en avant est le plus grand qu’affronte un mouvement qui s’appuie, ou veut s’appuyer sur une grande mobilisation populaire.
Ils étaient plus de 100 000, ils ne sont plus que 30. Seul finaliste tunisien et arabe du World Merit 2013, concours international lancé par le parlement anglais, Mahdi Hamdi nous parle de son aventure.
Lire la première partie de cet article Avant de poursuivre mon appel au débat entre islamistes et modernistes, je tiens […]
Nous mettons à votre disposition ce deuxième numéro de la revue trimestrielle d’analyse « Femmes et médias au Maghreb », éditée par le bureau de l’Unesco à Rabat, qui a talentueusement abordé dans son précèdent numéro la question de la « méritocratie » auprès des femmes marocaines.
Comme à son habitude, Ennahda, au lieu de répondre et de tenter de résoudre le ou les problèmes qui se posent, cherche toujours une échappatoire en désignant un nouvel ennemi. On pourrait presque appliquer cette maxime qui dit : « Quand le sage montre la lune, l’idiot regarde le doigt ». Mais je laisse à chacun le soin d’imaginer qui est le sage et qui est l’idiot.
Lors d’une conférence, tenue en ce matin du jeudi 15 août 2013, le président du mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi, est revenu sur la situation politique actuelle en Tunisie ainsi que sur les évènements en Egypte.
Sana Tamzini, directrice du Centre National d’Art Vivant de Tunis a été démise de ses fonctions (fin de détachement) et […]
Si les deux manifestation opposées, celle du mouvement Ennahdha et celle du collectif Hrayer Tounes, ont pu provoquer des craintes de division de la société tunisienne chez certains politiques et médias, tel que le parti Ettakol qui a appelé ses sympathisants à boycotter les deux manifestations… force est de constater que de face à face ou de polarisation, il n’y eût point.
Par le Dr Adel Chokki – En réponse à l’article publié sur Nawaat concernant la circoncision des enfants démunis en date du 12 août 2013. Je tiens à éclaircir aux lecteurs certains points. J’ai été étonné de lire votre interview avec le Dr Moez Cherif où j’ai noté des faits erronés et du non dit.
L’équipe de surveillance présente sur les lieux a été surprise par une dizaine de personnes venant exprimer par des injures leur soutien à la “légitimité”. Les leaders du Front ont été qualifiés par les intrus de “bande d’athées”, de “perfides” et de “responsables d’un futur putsch”, selon les militants présents.
Aujourd’hui, je vais être très bref, en ce jour de la fête des femmes du 13 août 2013, où notre jardin à tous a besoin d’être bien cultivé, bien protégé et bien arrosé de toutes nos sueurs libres et inaliénables, sans aucune forme d’esclavage, sous quelque prétexte que ce soit. Car la Tunisie n’est qu’un petit jardin, capable, en dépit de tout, de nous réunir tous, femmes et hommes.