23 octobre 2012 : Apocalypse now !

Aujourd’hui, en Tunisie, après que les derniers mois de son gouvernement aient mis à l’œuvre la propension du parti majoritaire à une pratique caricaturée de l’islam acceptant de passer sous les fourches caudines de ses sympathisants les plus radicaux, nous sommes en train d’expérimenter, en une sorte de retour de balancier, une pratique aussi loufoque,

La Polit-Revue : La République violée

Rarement affaire n’aura autant accaparé la semaine médiatique nationale. Le drame fait même les gros titres de quelques médias internationaux. « La troïka m’a violer* », pouvait-on lire samedi encore, Place des Droits de l’Homme, au rassemblement de soutien à la jeune fille violée par des agents de police.

Songe d’une nuit de septembre

“J’avais préparé soigneusement mon intervention sur le rôle du traducteur dans la transmission du savoir mais voilà qu’un rêve auquel j’attache beaucoup d’importance est venu bouleverser mon projet et me conduit par une force intérieure irrépressible à vous parler plutôt de philosophie et d’un philosophe tunisien plus particulièrement dont j’espère voir certains d’entre vous le prendre pour leur thèse.”

De la déliquescence de l’Etat Tunisien

Le parti islamiste Ennahdha (« renaissance ») et ses supplétifs dits de gauche, confortablement installés au pouvoir, ont précipité en quelques mois la Tunisie dans un statut d’Etat défaillant. Voyons pourquoi le pays remplit désormais les critères d’un Etat défaillant.