Trompé par le personnage et abusé par son militantisme d’avant la révolution, j’ai adhéré au CPR fin 2012 croyant y retrouver les valeurs pour lesquelles je milite pour ma part, à savoir une Tunisie de l’ordre amoureux (ordo amoris), tolérante et ouverte à l’altérité, où l’islam est oecuménique, démocratique; en un mot postmoderne.
