Sommes-nous sur la route vers la démocratie ?

Les mots trahison et tromperie n’ont de sens que lorsque, à un moment donné, il y a eu des gens qui avaient confiance en des gens qui ne le méritaient pas. On ne peut pas vivre sans confiance. Mais confiance sans méfiance c’est de la naïveté. Les naïfs sont des parfaits candidats pour se faire avoir.

Tunisie : L’insurrection Reprend

On veut bien croire que le Ministre de l’Intérieur Mr Rajhi a assainit ne serait-ce que relativement l’organigramme de la police. Il n’en a pas pour autant changer radicalement son comportement violent et délétère comme cela aurait dû être entamer.

Quelques précisions sur la Commission Nationale tunisienne sur la Réforme

Par Fawziya Mohamed – Nous allons donner quelques précisions sur les membres qui composent la commission tunisienne sur la Réforme, notamment sur son Président Yadh Ben Achour, sur Slim Laghmani, sur Rafaa Ben Achour, Horchani, etc. D’abord, en juillet 1990, Yadh Ben Achour avait été élevé par Ben Ali au grade de Commandeur de l’Ordre de la République, une haute distinction offerte par Ben Ali à Yadh Ben Achour.

Tunisie : Dialogue de sourds et Prêche dans le désert

Par Salah Kedidi – Depuis quelques jours, des gens découvrent le besoin de s’exprimer sur les ondes, sur les écrans, sur la toile ainsi que sur les pancartes que l’on brandit pendant les manifestations, grèves et sit in. Les articles foisonnent sur les colonnes des quotidiens, des hebdomadaires, des magazines et autres publications électroniques.

Quelle nouvelle constitution pour la Tunisie

Par Hatem Bennour – Nous n’avons pas le temps pour élire une assemblée constituante en Tunisie. D’ailleurs, je ne vois pas comment, elle pourrait se faire élire, qui pourrait se présenter et comment vont se faire les élections. Est ce qu’on va avoir le choix entre 10 ou 1000 personnes, 10 c’est gérable, 1000 non.

D’abord la confiance et la loyauté pour sortir de l’humiliation et du totalitarisme !

Il semble inutile de revenir sur le déroulement troublant des événements de laboratoire qui ont précédé la fuite de Tunisie, humiliante pour nous tous, du Président tunisien ce 14 janvier 2011. La « révolution grandeur nature » en Egypte a levé toute ambiguïté sur les desseins et l’opportunisme prémédité de la main invisible qui a coaché, en direct et en temps réel sur les télévisions du monde, l’organisation du départ du Général Moubarak du Caire.