La Révolution Tunisienne, toujours en état comateux; a eu quelques sursauts après le chute du REGIME Moubarak. Il est vraie […]

La Révolution Tunisienne, toujours en état comateux; a eu quelques sursauts après le chute du REGIME Moubarak. Il est vraie […]
En Janvier 1988, Om Zied, dans un article entré dans l’histoire, disait en détournant les mots d’Ibn Khaldun que “le […]
Alors même que l’Union Européenne et d’autres pays occidentaux aient fait preuve dans certaines circonstances d’un certain laxisme dans leurs rapports avec le régime du Président tunisien déchu […]
[…]Outre ces trophées, une seconde cible qui, si elle n’a pas été totalement touchée, aura du moins reçu un très gros coup qui va lui faire battre de l’aile pendant quelques temps. Ce sont les mouvements religieux intégristes et salafistes. […]
La recherche constante de l’homme providentiel ne saurait constituer une fin en soi, encore moins tenir lieu de politique dans le domaine international. N’en déplaise aux publicitaires de pacotille, la déconfiture de la France en Tunisie, en Côte d’Ivoire et au Liban devrait conduire les prescripteurs d’opinion à répudier ce travers français et aux citoyens de sanctionner ces pratiques dans leurs choix électoraux.
Excellence, vous me faites pitié. Je vous vouvoie parce que vous ne méritez aucun signe d’amitié ni de sympathie, parce […]
En décidant de créer « une commission chargée de veiller au respect de la déontologie journalistique », ce Conseil illégitime et provisoire, a entamé très rapidement, comme c’était prévisible d’ailleurs, le retour institutionnalisé vers l’ère de Ben Ali.
Abdelfattah Amor, un Joker des Droits de l’Homme de Ben Ali, nommé Président de la Commission Nationale d’établissement des faits sur les affaires de malversation et de corruption.
Par Farhat Othman – Juridiquement, cette demande est justifiée; elle relève des mesures de droits de l’Homme que l’accord euroméditerranéen liant la Tunisie à l’Europe fonde. Elle l’est aussi politiquement; la révolution tunisienne méritant pareille mesure exceptionnelle ne serait-ce que pour saluer sincèrement et concrètement son avènement et non seulement par des paroles creuses sans contenu tangible.
Il est utile de rappeler que les tunisiens se sont engagés très tôt en informatique. En effet, dès le début des années 1970, des dizaines d’étudiants se sont inscrits dans les universités françaises
Après une prière sur l’âme de nos martyrs, Je salue les centaines de milliers qui sont descendus dans les rues […]
En cette période d’agitation sociale exaltante et bienvenue où l’élan spontané des Tunisiennes et des Tunisiens a permis de nous débarrasser d’une implacable dictature , la femme Tunisienne a joué un rôle non négligeable,militant et mobilisateur grâce à son émancipation, à sa maturité et à son sens de la responsabilité.
Après « Ben Ali dégage », les jeunes tunisiens scandent « RCD dégage ». Dimanche soir, un communiqué lu à […]
Je vous adresse ce commentaire dans le respect de vos compétences, de vos orientations, de votre personne ainsi que de celles des membres que vous avez désignés à la haute commission de la réforme politique.
Lettre ouverte à Mr. Ahmed Ouneis, ministre des Affaires étrangères du nouveau gouvernement tunisien de transition Monsieur le Ministre, Je […]
Je reste, pour la première fois dans ma vie, scotché devant mon écran à écouter un ministre de l’Intérieur tunisien […]
Notre révolution montre que le pays manque de symboles, qui peut s’avérer un risque potentiel. D’un côté, par la voie démocratique une force politique telle qu’elle soit, finira par l’emporter et qui ne pourra échapper à la tentation de créer son propre symbole. D’un autre côté, l’absence de tout symbolisme risque de déstabiliser le pays et n’importe quel militantisme ne peut être guidé qu’avec un leader
Par Amjad Ghazi – Que faire de ce gouvernement que des gens bien intentionnés soutiennent, que des gens raisonnables soutiennent ; certains pleinement, qui expliquent qu’il fait ce qu’il peut, que c’est un moindre mal ; d’autres, j’en fais partie, sont de plus en plus perplexes, inquiets. Il est temps de demander des comptes.