Une petite devinette, qui a dit ? : « Ma conscience est tout à fait prête à faire des concessions […]

Une petite devinette, qui a dit ? : « Ma conscience est tout à fait prête à faire des concessions […]
Qui est le premier ministre Mohamed Ghannouchi ? Qui est cet homme qui soudain s’affirme en responsable du destin de la Tunisie pendant cette période de transition alors qu’il occupait ce même poste déjà depuis une dizaine d’années jusqu’au jour de la sortie spectaculaire de l’ancien président Ben Ali .
[…] L’argument de l’expérience pour résoudre les problèmes en ces temps troubles (qui sont caricaturés à grand coup de projecteur par les médias TV7 en pointe..) est un argument qu’ils vont toujours utiliser c’est justement celui là :”Faites nous confiance, on a plus l’expérience ! ” Mais à ce rythme, celui qui a le plus d’expérience c’est Ben Ali, autant le faire revenir de son palais doré en Arabie !!!! […]
Lettre ouverte à Radhia Nasraoui, Sihem Ben Sedrine, Souheir Belhassen, Mokhtar Trifi, Ahmed Mestiri, Hamma Hammami, Rached Ghannouchi, Moncef Marzouki, […]
D’abord je suis tunisienne et j’ai décidé de briser le silence et d’écrire sur ce blog que je découvre via […]
D’abord une remarque de forme : ne brouillons pas les cartes, les révoltes tunisiennes n‘ont aucun lien avec ce que […]
Au lendemain de la révolution du peuple tunisien qui a connu sa journée de gloire le 14/01/2011 avec la fuite […]
Le gouvernement de transition forme par Mohammed Ghannouchi est une grosse farce. Que le RCD cherche a conserver la main […]
Regardez ces deux images … vous ne voyez aucun rapport avec notre révolution tunisienne non ? et bien moi j’en […]
Suite à l’annonce du gouvernement de transition, je me permets de partager quelques réflexions sur le fond et la forme, […]
Après les évènements sans précédent que notre pays a connu ces dernières semaines et qui ont abouti à la chute […]
L’expulsion/fuite de Ben Ali n’est qu’un relais à la vraie et ultime liberté. Ben Ali n’a été que le fervent serviteur et premier porte parole de la dictature du RCD. (il s’est d’ailleurs grassement servi). En fait, si on lit et lie bien les faits, l’étincelle révolutionnaire n’a été déclenchée que par cette mainmise du Parti Unique sur toute forme de privilège économique et social ainsi que sur les richesses et opportunités du pays.
Mais avant cela, et au plus vite, il faut commencer par notre gouvernement de transition. Nous devons être surs de ces hommes et femmes car le peuple tunisien doit avoir confiance en son gouvernement. Car n’oublions pas que même l’opposition ‘légale’ (puisque légalisée par ben ali pour le servir) a quelques exceptions près (PDP…) a fricoté avec l’ancien régime.
Conseiller de Zine El-Abidine Ben Ali au palais de Carthage, il avait pris contact de sa propre initiative quelques jours avant la chute de l’ex-président parce que, disait-il, il ne voulait pas “être complice des massacres”. Pour le rencontrer, ce dimanche 16 janvier, il faut suivre des émissaires à travers un dédale de rues.
Par Salah Ben Omrane- Que dit la Constitution de la République Tunisienne, promulguée le 1er juin 1959 ? Dans son article 40, il est dit ceci : « Peut se porter candidat à la Présidence de la République tout Tunisien, jouissant exclusivement de la nationalité tunisienne, de religion musulmane, de père, de mère, de grands-pères paternel et maternel tunisiens, demeurés tous de nationalité tunisienne sans discontinuité. En outre, le candidat doit être, le jour de dépôt de sa candidature, âgé de quarante ans au moins et de soixante quinze ans au plus et jouir de tous ses droits civils et politiques.
Les prochaines actions du gouvernement provisoire doivent être la préparation des élections législatives et présidentielles prévues d’ici 2 mois. Ce […]
Nul ne peut contester, sauf à mentir aux 10 millions de tunisiens et à la multitude de personnes qui ont suivi avec curiosité, intérêt et finalement enthousiasme, en direct à travers le monde, la libération d’un peuple, que la vacance de la présidence de la République en Tunisie s’est produite le 14 janvier 2011 à 17. 40 par la fuite précipitée, de M. BEN ALI de Tunisie et l’abandon concomitant de la fonction.
Une dictature des plus féroces vient de tomber, en Tunisie, « le pays calme », comme dit la publicité touristique… « Travail, liberté, dignité », voilà le mot d’ordre scandé dans toutes les manifestations qui ont secoué la Tunisie depuis des semaines, accompagné par le silence complice du gouvernement français qui, par la voix de Mme Alliot-Marie proposa ses services pour « aider à ramener le calme ». L’histoire est en marche en Tunisie. Elle retiendra que le gouvernement français a soutenu, comme la potence soutient le pendu, un dictateur aveugle, sourd et corrompu qui a régné pendant 23 ans pour enrichir sa famille et ses affidés.