Bilan d’un an de “légitimité” : La culture, un secteur porté par ses acteurs et non par ses gouverneurs

Au moment des élections du 23 Octobre 2011, les attentes étaient grandissantes. Politiques, sociales, économiques, culturels, professionnelles. Légitimes. Au bout d’une année de « constituante », constitutive et symptomatique, dans tous les cas, essentielle, fondamentale et caractéristique d’un pays en (re)construction, qu’en est-il de notre « Culture »?

رد نواة على اتهامات وزير العدل السيد نور الدين البحيري

في تصريح مصور مثير للإستغراب لوكالة بناء للأنباء، صرح وزير العدل السيد نور الدين البحيري أن موقع نواة إدعى أن السيد نور الدين البحيري كان أكثر الناس اتصالا بالسيد كمال لطيف بين 2010 و جانفي 2011 و طلب من نواة إثبات هذا “الإدعاء” ثم واصل السيد نور الدين البحيري تعداد اتهاماته لنواة إرتأينا من الضروري الرد عليها :

دراسة : تفكيك إحصائي لشبكة كمال لطيف

أخضعنا سجل مكالمات كمال لطيف الذي بحوزتنا إلى دراسة إحصائية ساعين الى أن نستنطق ما خفي وراء مجرّد قائمة اتصالات صادرة و واردة رابطين إياها بالزمان و الأحداث التي شهدتها تونس في الفترة التي يغطيها سجل مكالمات كمال لطيف.

La Polit-Revue: La fin d’une époque

On a tendance à l’oublier, mais au-delà de simples régimes défaits, les révolutions arabes sont une rupture avec une certaine conception de la gouvernance. Il aura fallu presque 2 années, mais ce à quoi nous assistons avec l’affaire Letaief, c’est précisément la révélation et par conséquent l’évincement des derniers foyers d’autoritarisme.

ملفّ كمال لطيّف : لغز الإرساليات القصيرة المشفّرة

تحصّلنا على كافّة المعطيات المُتعلّقة بالرسائل القصيرة المشفّرة التي تمثّل نقطة بداية التحقيق، سنضع في المقال الحاليّ بين أيدي القرّاء محتويات الرسائل و سنحاول إلقاء الضوء على مفاصل الملفّ في مقالات قادمة.

حوار مع توفيق بودربالة رئيس لجنة تقصي الحقائق حول العدالة الإنتقالية

التقينا بالأستاذ توفيق بودربالة رئيس لجنة تقصي الحقائق حول الأحداث الأخيرة و التجاوزات على هامش ندوة، بعين دراهم، نظمتها جمعية المواطنة و التنمية بالشمال الغربي بالتعاون مع جمعية منتدى المواطنة و الحكامة بسوسة، حول العدالة الإنتقالية. فكان لنا معه الحوار التالي

La Polit-Revue : Une semaine « No pasarán ! »

Pour les journalistes qui ont couvert les affrontements de Douar Hicher ayant marqué le début de semaine et le congrès d’al Joumhouri le weekend, le slogan scandé dans la salle du Colisée à Tunis peut faire sourire, tant le chaos et le sifflements des balles dans les quartiers chauds contraste avec l’ambiance policée d’une réunion de jeunes centristes.

Un an dans les médias : Une année difficile

Après une année difficile les journalistes ont l’air d’avoir enfin réussi à s’unifier. Le combat se tourne de plus en plus vers la liberté de la presse. Une liberté qui ne pourra être assurée que lorsque les médias seront indépendants et ce principe a l’air d’avoir été intégré par tous les professionnels du secteur

إستقراء للتحقيق مع كمال لطيّف

منذ أكثر من أسبوعين و أثناء التحقيق الجاري ضدّه بتهمة التآمر على أمن الدولة و الذي تمّ في إطاره تحجير السفر عليه تحصّلنا على كافّة المُعطيات المتعلّقة بملفّ التحقيق إضافة إلى لائحة المكالمات الواردة و الصّادرة عن الهاتف الجوّال الخاصّ بكمال لطيّف منذ 2 جانفي 2011.

Bilan d’un an de “légitimité” : La Justice sous le gouvernement Jebali

Les élections du 23 octobre ont abouti à la mise en place de la deuxième Assemblée Constituante chargée principalement d’écrire une nouvelle Constitution pour la Tunisie. Le 22 décembre 2011, Le nouveau chef du gouvernement provisoire, Hamadi Jebali nomme Nourredine Bhiri, ancien partisan du MTI (Mouvement de la tendance islamique) depuis 1977 et avocat à la Cour de Cassation.

Dar Assabah : La démission de Lotfi Touati

A peine plus de deux mois aprés sa nomination au poste de DG de Dar Assabah, Lotfi Touati s’en va. Le sit-in et les grèves de la faim des journalsites leurs auront permis d’avoir gain de cause. A travers l’affaire de Dar Assabah c’est tous les médias tunisiens qui reprennent espoir : car une première bataille en faveur de la liberté de la presse vient d’être remportée.

Lecture de l’enquête sur l’affaire de la jeune femme violée par deux policiers

La grande médiatisation de l’affaire de la jeune femme violée par des agents de sécurité a suscité, de tous bords, de vives réactions. Elle a fait scandale entre une partie incriminant le viol et accusant les agents de sécurité d’abus de pouvoir et de fonctions et une autre justifiant l’acte soit par une négation totale du fait soit par la lubricité de la jeune femme.