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L'article intitulé "Après les pétrodollars, les « dollars solaires » seraient-ils l’enjeu de toutes les révolutions arabes ?" explore la question de savoir si les révolutions arabes pourraient également être motivées par des enjeux énergétiques, notamment en lien avec le projet européen DESERTEC visant à exploiter le potentiel solaire de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient pour alimenter l'Europe en énergie solaire.

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Énergies renouvelables en Tunisie : des intentions fossilisées

Le champ gazier Nawara situé dans le sud de Tataouine a été inauguré, le 5 février, par Youssef Chahed. D’après le chef du gouvernement, un budget de 3,5 milliards de dinars lui a été consacré et il produira 2,7 millions m3 de gaz, 7000 barils de pétrole et 3200 barils de gaz de pétrole liquéfié par jour. De quoi réduire le déficit énergétique de la Tunisie, estimé à 435,5 MDT et représentant 44,9% du déficit commercial, de 20%. Or, ce projet qualifié d’ « historique » par Chahed va à l’encontre des engagements internationaux de la Tunisie.

Récapitulatif des prêts et dons accordés à la Tunisie au mois de mai 2015 (1re partie) : le lourd tribut des secteurs énergétiques

Le mois de mai dernier a été prolifique en accords divers. Si le statut de membre non-allié de l’OTAN a été celui qui a crée le plus de remous, des accords de prêts, mémorandums, lettres de garanties, crédits ou échanges de notes ont égayé les relations extérieures de la Tunisie. Entre ceux ratifiés par le président de la République et publiés au Journal officiel et ceux en cours de discussions devant l’ARP, d’importantes sommes viennent se greffer au lourd passif de ces 4 dernières années. Nous reviendrons sur ces aides extérieures qui sont passées inaperçues au cours de ce mois.

Législatives 2014 : L’environnement sera-t-il un défi majeur pour les partis politiques ?

En dépit de la dégradation de l’environnement, aggravée après la révolution de janvier 2011, le volet écologique ne semble pas être une priorité dans les programmes électoraux des partis politiques en lice. Si tous se rejoignent sur des généralités, comme la nécessité d’un environnement propre et sain, ils ne disent pas, cependant, comment ces programmes vont être réalisés. Les Législatives 2014 sont une occasion de s’arrêter sur le programme des principales listes en matière d’environnement.

Production propre en Tunisie : piste de gains économiques et impératif écologique

L’énoncé de l’Article 45 de la nouvelle constitution Tunisienne place l’environnement comme un thème central que l’Etat doit protéger. Les constituants ont aussi consacré l’Article 129 à « l’Instance du Développement Durable et des Droits des Générations Futures ». La préservation de l’environnement est donc un sujet universel qui doit être pris en considération à la valeur qu’il mérite en tant qu’enjeu sociétal et économique.

Tunisie : Enjeux énergétiques, l’éolienne entre besoins et appréhensions

Après l’installation, en 2012, des deux centrales éoliennes de Metline à El Alia et de Jebel Kchayta à Bizerte, la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) projette d’étendre la centrale de Sidi Daoud. En effet, un accord a été conclu avec le groupe espagnol « Gamesa », lequel a contribué à l’installation de la première centrale éolienne de la STEG à Sidi Daoud, pour la construction de deux extensions.

Sous le soleil de Tunisie : accroitre la production d’énergie solaire pour l’autoconsommation et l’exportation

Au cours des dernières années, les partenariats dans le secteur de l’énergie, en Tunisie, se sont souvent caractérisés par une opacité grandissante. Entre manque d’informations, absence de rapports détaillés et défaut de couverture médiatique, c’est tout un secteur qui vit, aujourd’hui, dans une certaine forme de fantasme, plus ou moins avérée.

Regulatory Reform and Financial Aid – Germany on Growing Tunisia’s Renewable Energy Sector

Two recent reports—Bardolet’s May 2014 overview for Dii and Cessat’s June 2014 analysis for GIZ—evaluate the present framework that governs renewable energies in Tunisia and recommend reforms conducive to opening the sector to foreign investment and collaboration. Both studies conclude that current regulatory measures pertaining to—particularly STEG’s—energy management are rigid, restrictive, exclusive and elusive, and that the imminent incorporation of provisions for «business models» as Bardolet discusses, or «foreign private operators» in the words of Cessat, of renewable energy projects is advisable.

Tentative d’immersion dans la boite noire des subventions de l’énergie

Nous avons essayé de trouver une justification à l’augmentation phénoménale qu’a connue le budget réservé à la subvention de l’énergie entre 2009 et 2013. Après avoir analysé les différents facteurs qui peuvent causer une augmentation du coût de la subvention des hydrocarbures, nous nous permettons de dire que les subventions de l’énergie ne sont pas vraiment utilisées pour compenser l’élévation du coût de production des hydrocarbures comme ce qui est fréquemment dit par les autorités tunisiennes et même par des institutions internationales.