Détérioration de la situation économique, hausse des prix des loyers et faible intervention de l’Etat, autant de facteurs qui contribuent à l’augmentation du nombre des Sans domicile fixe (SDF) dans les rues de Tunis, estimé à 3000 cas en 2014. Désormais très visibles dans les rues, près des gares, devant les entrées des bâtiments, dans les jardins publics et ailleurs, ils représentent un des symptômes d’une misère sociale rampante et d’un conservatisme marginalisant.
