Par Gisèle Comtois – N’êtes-vous pas découragés du silence des médias concernant la situation réelle et quotidienne des tunisiens, particulièrement celle des régions? Je suis revenue à Montréal le 18 janvier dernier après un séjour de 6 mois dans la région du Kef. Depuis, les nouvelles quotidiennes que j’en reçois ne sont pas réjouissantes et montrent, dans un crescendo continuel, la montée des violences faites à ses habitants.
