L’interview transcrite de Mohamed Ghannouchi par Jean-Pierre Elkabbach
Qui est le premier ministre Mohamed Ghannouchi ? Qui est cet homme qui soudain s’affirme en responsable du destin de la Tunisie pendant cette période de transition alors qu’il occupait ce même poste déjà depuis une dizaine d’années jusqu’au jour de la sortie spectaculaire de l’ancien président Ben Ali .
Tunisie : Lettre ouverte à l’opposition et à la société civile
Lettre ouverte à Radhia Nasraoui, Sihem Ben Sedrine, Souheir Belhassen, Mokhtar Trifi, Ahmed Mestiri, Hamma Hammami, Rached Ghannouchi, Moncef Marzouki, […]
Jeter le bebe avec l’eau du bain?
Le gouvernement de transition forme par Mohammed Ghannouchi est une grosse farce. Que le RCD cherche a conserver la main […]
Appel Pour Un RCD Separé !
L’expulsion/fuite de Ben Ali n’est qu’un relais à la vraie et ultime liberté. Ben Ali n’a été que le fervent serviteur et premier porte parole de la dictature du RCD. (il s’est d’ailleurs grassement servi). En fait, si on lit et lie bien les faits, l’étincelle révolutionnaire n’a été déclenchée que par cette mainmise du Parti Unique sur toute forme de privilège économique et social ainsi que sur les richesses et opportunités du pays.
أذيال بن علي و المعارضة : محاولة الإستيلاء علي إنجاز الشعب
Exercice de liberté d’expression sur fond de révolution
Mais avant cela, et au plus vite, il faut commencer par notre gouvernement de transition. Nous devons être surs de ces hommes et femmes car le peuple tunisien doit avoir confiance en son gouvernement. Car n’oublions pas que même l’opposition ‘légale’ (puisque légalisée par ben ali pour le servir) a quelques exceptions près (PDP…) a fricoté avec l’ancien régime.
La Constitution Tunisienne et les Tunisiens
Par Salah Ben Omrane- Que dit la Constitution de la République Tunisienne, promulguée le 1er juin 1959 ? Dans son article 40, il est dit ceci : « Peut se porter candidat à la Présidence de la République tout Tunisien, jouissant exclusivement de la nationalité tunisienne, de religion musulmane, de père, de mère, de grands-pères paternel et maternel tunisiens, demeurés tous de nationalité tunisienne sans discontinuité. En outre, le candidat doit être, le jour de dépôt de sa candidature, âgé de quarante ans au moins et de soixante quinze ans au plus et jouir de tous ses droits civils et politiques.
Les premiers areu
Les prochaines actions du gouvernement provisoire doivent être la préparation des élections législatives et présidentielles prévues d’ici 2 mois. Ce […]
De L’inconstitutionnalité De L’interim De M. Foued Mobazaa.
Nul ne peut contester, sauf à mentir aux 10 millions de tunisiens et à la multitude de personnes qui ont suivi avec curiosité, intérêt et finalement enthousiasme, en direct à travers le monde, la libération d’un peuple, que la vacance de la présidence de la République en Tunisie s’est produite le 14 janvier 2011 à 17. 40 par la fuite précipitée, de M. BEN ALI de Tunisie et l’abandon concomitant de la fonction.
Tunisie : La route est encore longue – Appel à une transition démocratique unie et réfléchie
Nous vivons aujourd’hui des évènements qui marqueront à jamais notre histoire. La « Révolution du Jasmin » nous ouvre la […]
Tunisie : Couper le Cordon
Le peuple tunisien vient de donner une leçon au monde entier, et a tous les opprimes dans le monde arabe […]
Tunisie : Le choix de Ben Ali
Près de quatre ans avant la prochaine “échéance électorale” en Tunisie, les modalités pour faire adopter une nouvelle et énième révision de la Constitution divisent les conseillers de la présidence. Si tous s’accordent déjà sur la suppression de la limite d’âge pour se présenter au poste suprême de l’État, qui est aujourd’hui fixée à 75 ans, et ne permet donc pas à l’actuel chef de l’État, Zine el Abidine Ben Ali, de briguer un nouveau mandat en 2014 (date à laquelle il aura 78 ans), un véritable casse-tête les oppose au sujet de la durée du mandat présidentiel. En effet, le ministre conseiller porte-parole de la présidence, Abdelaziz Ben Dhia, est favorable au maintien du quinquennat, tandis que le conseiller politique, Abdelwaheb Abdallah, souhaiterait l’institution d’un septennat, afin d’assurer «plus de stabilité et éviter les révisions constitutionnelles à chaque scrutin présidentiel». […]
Plaidoyer Pour La République
Aujourd’hui, le 20 Août 2010, a été rendu public l’« appel des mille » dans lequel des personnalités tunisiennes supplient l’actuel président tunisien à briguer un nouveau mandant pour 2014-1019. Inutile de revenir sur la justification contradictoire et tautologique qu’ils donnent à leur appel.
Tunisie : allegeance au souverain
Restant dans la pure tradition benna-liste, qui doit elle-même remonter à la vieille tradition d’allégeance beylicale, des personnalités tunisiennes “d’envergure” […]
عريضة وطنية : لا للتمديد .. لا للتوريث
Le RCD face à un choix : parti au pouvoir ou parti du pouvoir ?
Au sein de l’opposition s’élèvent des voix ne concevant la solution à la crise politique actuelle sans l’affaiblissement du RCD voire sa neutralisation, pure et simple. Le fardeau, assez lourd, des expériences antérieures, parfois dramatiques, ne peut en soi légitimer la simplification de l’alternative, qui devrait être consensuelle, dans le rejet d’une composante majeure de la scène politique tunisienne de la taille du RCD.
Censure, Hypocrisie et Etat de droit : Lettre ouverte aux malentendants
Pourquoi une lettre ouverte aux malentendants ? Peut-être parce que les myopes ont déjà tellement du mal à lire. Et que la fracture entre les discours politiques et ce qui se lit et s’écrit sur les supports dits libres, c’est-à-dire électroniques, il n’y a que les myopes qui n’arrivent pas à la voir. Une fracture où l’hypocrisie des discours est le maître mot (I), handicapant la marche vers l’Etat de droit (II). Et la censure dans tout cela s’avère être le révélateur cinglant de nos aberrantes contradictions.