Constitution 344

سيادة الوزير الأول: لماذا لا ترحل

يثير أداء الوزير الأول السابق المقال السيد محمد الغنوشي و المعين لتشكيل الحكومة المؤقتة لإدارة المرحلة الإنتقالية تسائلات جدية و خطيرة حول نزاهة وشفافية تصرفه في إدارة هذه المأمورية. و قد تواصلت اليوم المضاهرات على كامل تراب الجمهورية منددة بتصرفاته و بشخصه و منادية بمسؤوليته في تعقيد إدارة المرحلة الإنتقالية و اتهامه صراحة بالتآمر لربح الوقت و الإلتفاف على إستحقاقات الثورة الشعبية في الوصول في أسرع وقت ممكن لتمكين الشعب التونسي من إختيار مسؤوليه و قادته للمرحلة القادمة بكل ديموقراطية.

Appel Pour Un RCD Separé !

L’expulsion/fuite de Ben Ali n’est qu’un relais à la vraie et ultime liberté. Ben Ali n’a été que le fervent serviteur et premier porte parole de la dictature du RCD. (il s’est d’ailleurs grassement servi). En fait, si on lit et lie bien les faits, l’étincelle révolutionnaire n’a été déclenchée que par cette mainmise du Parti Unique sur toute forme de privilège économique et social ainsi que sur les richesses et opportunités du pays.

أذيال بن علي و المعارضة : محاولة الإستيلاء علي إنجاز الشعب

عند شغور منصب رئيس الجمهورية لوفاة أو لاستقالة أو لعجز تام يتولى فورا رئيس مجلس النواب مهام رئاسة الدولة بصفة مؤقتة لاجل أدناه خمسة وأربعون يوما وأقصاه ستون يوما. ويؤدي القائم بمهام رئيس الجمهورية بصفة مؤقتة اليمين الدستورية أمام مجلس النواب وعند الاقتضاء أمام مكتب المجلس. ولا يجوز للقائم بمهام رئيس الجمهورية بصفة مؤقتة الترشح لرئاسة الجمهورية ولو في صورة تقديم استقالته .[…]

Exercice de liberté d’expression sur fond de révolution

Mais avant cela, et au plus vite, il faut commencer par notre gouvernement de transition. Nous devons être surs de ces hommes et femmes car le peuple tunisien doit avoir confiance en son gouvernement. Car n’oublions pas que même l’opposition ‘légale’ (puisque légalisée par ben ali pour le servir) a quelques exceptions près (PDP…) a fricoté avec l’ancien régime.

La Constitution Tunisienne et les Tunisiens

Par Salah Ben Omrane- Que dit la Constitution de la République Tunisienne, promulguée le 1er juin 1959 ? Dans son article 40, il est dit ceci : « Peut se porter candidat à la Présidence de la République tout Tunisien, jouissant exclusivement de la nationalité tunisienne, de religion musulmane, de père, de mère, de grands-pères paternel et maternel tunisiens, demeurés tous de nationalité tunisienne sans discontinuité. En outre, le candidat doit être, le jour de dépôt de sa candidature, âgé de quarante ans au moins et de soixante quinze ans au plus et jouir de tous ses droits civils et politiques.

De L’inconstitutionnalité De L’interim De M. Foued Mobazaa.

Nul ne peut contester, sauf à mentir aux 10 millions de tunisiens et à la multitude de personnes qui ont suivi avec curiosité, intérêt et finalement enthousiasme, en direct à travers le monde, la libération d’un peuple, que la vacance de la présidence de la République en Tunisie s’est produite le 14 janvier 2011 à 17. 40 par la fuite précipitée, de M. BEN ALI de Tunisie et l’abandon concomitant de la fonction.

Tunisie : Le choix de Ben Ali

Près de quatre ans avant la prochaine “échéance électorale” en Tunisie, les modalités pour faire adopter une nouvelle et énième révision de la Constitution divisent les conseillers de la présidence. Si tous s’accordent déjà sur la suppression de la limite d’âge pour se présenter au poste suprême de l’État, qui est aujourd’hui fixée à 75 ans, et ne permet donc pas à l’actuel chef de l’État, Zine el Abidine Ben Ali, de briguer un nouveau mandat en 2014 (date à laquelle il aura 78 ans), un véritable casse-tête les oppose au sujet de la durée du mandat présidentiel. En effet, le ministre conseiller porte-parole de la présidence, Abdelaziz Ben Dhia, est favorable au maintien du quinquennat, tandis que le conseiller politique, Abdelwaheb Abdallah, souhaiterait l’institution d’un septennat, afin d’assurer «plus de stabilité et éviter les révisions constitutionnelles à chaque scrutin présidentiel». […]

Appel des 1000 Ben Ali Roi

Plaidoyer Pour La République

Aujourd’hui, le 20 Août 2010, a été rendu public l’« appel des mille » dans lequel des personnalités tunisiennes supplient l’actuel président tunisien à briguer un nouveau mandant pour 2014-1019. Inutile de revenir sur la justification contradictoire et tautologique qu’ils donnent à leur appel.

عريضة وطنية : لا للتمديد .. لا للتوريث

نحن التونسيون من كل التوجهات السياسية والايديولوجية والفكرية .. ومن كل جهات البلاد .. ومن داخل الوطن وخارجه .. نعلن رفضنا المطلق لأي محاولة لتحوير الدستور من أجل تمكين زين العابدين بن علي من التقدم للانتخابات الرئاسية القادمة .. ومن ثمة لمواصلة الحكم في اطار حكم مؤبد أشبه ما يكون بملكية مقنعة. […]

Le RCD face à un choix : parti au pouvoir ou parti du pouvoir ?

Au sein de l’opposition s’élèvent des voix ne concevant la solution à la crise politique actuelle sans l’affaiblissement du RCD voire sa neutralisation, pure et simple. Le fardeau, assez lourd, des expériences antérieures, parfois dramatiques, ne peut en soi légitimer la simplification de l’alternative, qui devrait être consensuelle, dans le rejet d’une composante majeure de la scène politique tunisienne de la taille du RCD.

Censure, Hypocrisie et Etat de droit : Lettre ouverte aux malentendants

Pourquoi une lettre ouverte aux malentendants ? Peut-être parce que les myopes ont déjà tellement du mal à lire. Et que la fracture entre les discours politiques et ce qui se lit et s’écrit sur les supports dits libres, c’est-à-dire électroniques, il n’y a que les myopes qui n’arrivent pas à la voir. Une fracture où l’hypocrisie des discours est le maître mot (I), handicapant la marche vers l’Etat de droit (II). Et la censure dans tout cela s’avère être le révélateur cinglant de nos aberrantes contradictions.