Pouvons-nous réellement pénétrer, viscéralement, spirituellement, et non pas seulement physiquement l’univers carcéral ? Cette microsociété, littéralement un monde parallèle, regroupant toutes sortes d’individus, brassant victimes et criminels, coupables et innocents, rebelles et révolutionnaires. Des « humains » dignes et d’autres lâches.
Omar Victor Diop, le surréaliste Africain !
Omar Victor Diop. Ce nom qui ne vous dit, peut-être rien, est un artiste photographe qui renouvelle un genre où l’on pensait avoir tout dit. Son portfolio éclectique comprend aussi bien des projets conceptuels que de la photographie de mode et du portrait posé.
Etat des lieux de la photographie en Tunisie
La prise de vue photographique, en soi, occupe tout son sens et sa puissance dans la relation que le photographe essaie d’entretenir avec le temps et son temps. Amateur ou professionnel, amateur puis professionnel, de ses débuts dans la photographie jusqu’à ses premières « cibles » et ses premières révélations, ses « fixations » s’implantent peu à peu dans son quotidien et deviennent cet unique et véritable ciment qui nous colle littéralement à une « chose » pour la vie.
Lotfi Gharieni, photographe: Un patchwork d’histoires de la vie…
Il pratique la photographie depuis plusieurs années, une passion commencée à Sfax, où il est né ; A partir des années 2000, il participe activement à divers formations nationales et workshops internationaux, en Italie, en Espagne et en Allemagne, qui lui permettront d’acquérir la maitrise des techniques de la photographie, aussi bien pratiques que théoriques.
Tunis : Célébration du 14 janvier en images
« Enfin, il y a du multipartisme » s’est exclamé aujourd’hui, 14 janvier 2013, un jeune tunisien venu célébrer le deuxième anniversaire de la Révolution tunisienne. A l’avenue Habib Bourguiba, artère principale de la capitale de la Tunisie, plusieurs partis politiques ont envahi la rue. Cliquez sur la flèche pour visualiser les images.
« Tsawer cheraâ » : Ondes artistiques sur territoire urbain.
« Tsawer cheraâ », littéralement « Photos de Rue », a proposé sa deuxième édition le 04 Novembre dernier, au Jardin de la « Place Pasteur ». Pour « la Rue » et ceux qui la peuplent, cette action artistique se regarde comme un manifeste, dans ce qu’elle a de plus directe et spontanée.
Street art in Gafsa: The first victim of Ramadan?
Eighteen months after the popular uprising which put an end to the Ben Ali regime, one of the few tangible signs of this event remains, undeniably, the sense of free speech which it engendered. Graffiti, tags and the different forms expression that can be seen in the art of the streets have come to represent a concrete manifestation of this freedom of speech and thought.
L’art de rue à Gafsa : Première victime du Ramadan ?
Dix-huit mois après le soulèvement populaire qui a mis fin au règne de Ben Ali, l’un des rares signes tangibles de cet événement est incontestablement la libération de la parole. Le Graffiti, le tag et les différentes formes d’expression de l’art de rue ont été une des matérialisations concrètes de cette libération de la parole et de la pensée.
مسيرة الأحرار من سيدي بوزيد إلى تونس
انطلقت مجموعة من متساكني سيدي بوزيد في مسيرة على الأقدام في اتّجاه تونس العاصمة. لم نتردّد لحظة واحدة في الذّهاب إليهم وملاقاتهم، إذ أعادوا إلى أذهاننا بدايات الثّورة التّونسيّة والقصبة1 حيث انطلق آلاف التّونسييّن من رحم البلاد قاصدين العاصمة من أجل إسقاط حكومة الغنّوشي الأولى المنبثقة عن زعماء التّجمّع.
“La Marche des Libres” de Sidi Bouzid à Tunis
Un groupe d’habitants de Sidi Bouzid viennent d’entamer une marche à pied vers Tunis. Sans hésitation, on a voulu les rencontrer car cela rappelle les débuts de la Révolution tunisienne et sa Casbah 1 où des milliers de Tunisiens sont venus des entrailles de la Tunisie
“Palestiniennes” : Dix portraits de femmes pour un voyage au coeur des territoires occupés
A l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, un reportage multimédia réalisé par Soraya Guénifi et Agnès Varraine-Leca. Un voyage au coeur des territoires palestiniens occupés à travers dix portraits de femmes.
[المضيلة : في حي «السريعة» : «نعيش على مخزون من الذهب، ولكننا لا نجني منه إلا المرض والفقر!» [صور
!قفصة : هناك، حيث لم تصل الثورة بعد
Mdhilla: In the “Sariaa” neighborhood, “We’re living on gold. But all it brings us is sickness and poverty.” [photos]
Mdhilla, population 15,000, in the southwest of Tunisia, is an industrial center in the mining basin with two clusters: a division of the Gafsa Phosphate Company (in the photo) and a regional division of the Tunisian Chemical Group. And yet, Mdhilla is one of the poorest towns in the country. An impromptu meeting with the residents of the “Sariaa” (Rapid) neighborhood. The neighborhood is mostly made up of semi-nomad families who never stayed in one place for a long time. These days, the inhabitants no longer really leave, since poverty and rough conditions force them to stay put. The whole neighborhood is built on the bed of a wadi that has been progressively filled in as new buildings go up.
Gafsa: Still waiting for the Revolution to happen
Gafsa. Too far south to catch our interest, too central to attract tourists. The capital of the mining sector is painful to behold. The skies are leaden and the ambiance is sad. A small gathering of job-seekers looking for work in the city center bears witness to ongoing tensions and demands that are far from being met. Among the forsaken are Amor and his family. He and his brothers tell of their past, their present, and their dreams for the future. Hearing the stories echos throughout this family is eye-opening, revealing the human experience’s different faces, fleshing out each identity, and magnifying differences.
Mdhilla : Au quartier “Sariaa”, “On vit sur de l’or. Mais nous n’en récoltons que la maladie et la pauvreté.” [photos]
Rencontre improvisée avec des habitants du quartier de « Sariaa » (Rapide). Un quartier qui héberge principalement des familles semi-nomades qui ne restaient jamais longtemps sur place.[…]
Gafsa : Là où la Révolution n’est pas encore arrivée
Gafsa. Trop au sud pour qu’on s’y intéresse, trop au centre pour drainer du touriste. La capitale du bassin minier fait peine. Le ciel est lourd, l’ambiance triste. Un petit attroupement de chômeurs qui cherchent du travail au centre ville, montre que la situation n’est pas apaisée et que les revendications sont toujours les mêmes.
Updates on the Situation in Egypt: What is Happening
Last Friday (18th november) there was a huge demonstration in Tahrir Square calling for ending the military rule, to end […]