Par : Samia El Mechat La « révolution » en Tunisie expression d’un profond mal-être social, de rejet radical […]

Par : Samia El Mechat La « révolution » en Tunisie expression d’un profond mal-être social, de rejet radical […]
Par Pierre-Yves Dufeu (Maître de conférences)
Coopérant universitaire français, je vis et travaille à Tunis. C’est d’abord par l’enseignement, par les échanges académiques, que j’ai progressivement appris à connaître la société tunisienne, ses étudiants, ses professionnels, ses intellectuels. Cette année, à l’occasion notamment du cinquantenaire de beaucoup d’indépendances, j’ai souhaité co-organiser un cycle de conférences autour de la question « Qu’est-ce que l’Afrique ? ».
En décidant de créer « une commission chargée de veiller au respect de la déontologie journalistique », ce Conseil illégitime et provisoire, a entamé très rapidement, comme c’était prévisible d’ailleurs, le retour institutionnalisé vers l’ère de Ben Ali.
Abdelfattah Amor, un Joker des Droits de l’Homme de Ben Ali, nommé Président de la Commission Nationale d’établissement des faits sur les affaires de malversation et de corruption.
Notre révolution montre que le pays manque de symboles, qui peut s’avérer un risque potentiel. D’un côté, par la voie démocratique une force politique telle qu’elle soit, finira par l’emporter et qui ne pourra échapper à la tentation de créer son propre symbole. D’un autre côté, l’absence de tout symbolisme risque de déstabiliser le pays et n’importe quel militantisme ne peut être guidé qu’avec un leader
Par Amjad Ghazi – Que faire de ce gouvernement que des gens bien intentionnés soutiennent, que des gens raisonnables soutiennent ; certains pleinement, qui expliquent qu’il fait ce qu’il peut, que c’est un moindre mal ; d’autres, j’en fais partie, sont de plus en plus perplexes, inquiets. Il est temps de demander des comptes.
Sortant du Tunnel, la Tunisie d’aujourd’hui doit trouver son chemin vers un avenir prospère. Si le renversement de l’ancien régime […]
Condamnation, amertume, regret, incompréhension… voilà comment la majorité des Tunisiens a réagi aux évènements du vendredi 28 janvier. Certains habitants […]
Le 17 décembre 2010, Mohamed Bouazizi, un jeune diplômé, blessé par le mal-vivre, victime de l’indifférence et de l’oppression, s’immola […]
Cet article nous a été envoyé par email en réaction à un entretien du ministre des Affaires étrangères du nouveau gouvernement de transition, M. Ahmed Ounaies, publié le 29.01.11 sur le quotidien “La Presse de Tunisie”.
Beaucoup, parmi ses enfants, s’inquiètent pour la Tunisie après plusieurs semaines de révoltes et de manifestations.
Un ami, ayant la double nationalité m’avait dit un jour : « Tant que je suis sur le sol français, […]
C’est avec une profonde tristesse que je vous apprends que la Révolution Tunisienne est dans ses dernières heures… Vos prières […]
La Tunisie, carrefour de la méditerranée, se trouve à un tournant de son Histoire après avoir accomplie ce qui paraissait […]
L’Algérie du peuple pleure son penseur, le grand islamologue Mohamed Arkoun. mais l’Algérie officielle ne le reconnaît pas. Aucun geste […]
[…] Ce qui s’est passé à Skhira n’est pas nouveau, mais vient nous rappeler que la Tunisie est un pays qui avance à double vitesse : il y a la Tunisie relativement prospère qui concentre 80% de la production nationale sur 60% de la population (Littoral-Nord). Et celle qui se paupérise et qui représente 40% de la population avec seulement 1/5 ème de la production nationale (Sud-Ouest).[…]
Le président de la République exhorte ses ministres à prendre leurs responsabilités. Et se pose en défenseur de la démocratie, […]
En prélude au débat public au Parlement Européen, le 19 janvier 2010, sur les relations UE-Tunisie et l’état des libertés […]