أصدر المنتدى التونسي للحقوق الاقتصادية والاجتماعية، في موفى الشهر الماضي، دراسة تحت عنوان “العنف المسلط على المهاجرات أصيلات جنوب الصحراء في تونس” تتطرق إلى الوضعية الهشة للمهجرات أصيلات جنوب الصحراء في تونس من خلال الوقوف حول وضعيتهن القانونية وأنواع العنف المسلط عليهن في تونس. الدراسة تطرح مجموعة من الحلول على التي يجب اتخاذها على المدى القريب والبعيد للتصدي لهذا العنف وتسوية وضعيتهن على المستوى الإنساني والقانوني. نواة حاورت الباحثة الجامعية التي قامت بهذه الدراسة، هاجرعرايسية.
Eric, Ivorian and illegal in Tunisia
On December 23, 2018, Falikou Coulibaly, president of the Association of Ivorians in Tunisia, was killed during a robbery in Soukra (Greater Tunis). As protests led by the Subsaharian community multiplied across the capital, Nawaat met Eric. Settled in Tunisia since March 2017, the 31 year old Ivorian—like hundreds of his compatriots, has found himself uncapable of regularizing his status. Forced to relinquish his studies, Eric got a job as a construction worker. Racist acts of aggression, a lack of medical care and an exploitative work situation are some of the challenges he faces on a daily basis.
Eric, un Ivoirien hors-la-loi malgré lui en Tunisie
Au moment où les actions de contestation des membres de la communauté subsaharienne à Tunis se multiplient suite au meurtre du président de l’Association des Ivoiriens de Tunisie Falikou Coulibaly dimanche lors d’un braquage à la Soukra, Nawaat est parti à la rencontre d’Eric. Installé en Tunisie depuis mars 2017, ce jeune ivoirien de 31 ans s’est retrouvé dans l’incapacité de régulariser sa situation, comme des centaines de ses compatriotes. Contraint à renoncer à ses études, Eric travaille comme ouvrier de bâtiment. Il est confronté à différentes difficultés : agressions racistes, problèmes d’accès aux soins, exploitation au travail…
Emploi: la double peine des migrants subsahariens en Tunisie
L’université d’été des mouvements sociaux, organisée par le Forum Tunisien des Droits Economiques et Sociaux (FTDES) du 7 au 9 septembre à Sousse, s’est entre-autres penchée sur « la situation des migrants résidents en Tunisie ». Marqué par la forte participation de représentants d’associations défendant les droits des ressortissants subsahariens, un atelier leur a été l’occasion de dénoncer la double peine infligée à leurs compatriotes : en plus de la discrimination raciale en société, ils sont confrontés à diverses difficultés procédurales, de l’obtention du titre de séjour permettant l’accès au travail aux inégalités subies dans leurs environnements professionnels.
تونس تنظمّ إلى ”كوميسا“: رهان تجاري صعب في إفريقيا المزدحمة
لطالما مثّلت “تونس العربيّة” و”تونس المتوسطّية” مرتكزات الدبلوماسيّة التونسيّة والعناوين الرئيسيّة للتموقع السياسيّ ولشبكة الارتباطات والعلاقات الإقتصاديّة والتجاريّة. لكنّ “تونس الإفريقيّة” لم تتشكلّ في الذهنيّة الرسميّة سوى في تعبيرات سياسيّة واقتصاديّة رمزيّة فرضها حكم الجغرافيا على غرار الاتحاد الإفريقي، ومحاولات فرديّة في القطاع الخاصّ لاقتحام السوق الخصبة للقارة السمراء. الأزمة الاقتصاديّة الخانقة، وانحسار الخيارات شمالا وشرقا، دفعت صنّاع القرار إلى الالتفات جنوبا بحثا عن تعويذة الإنقاذ.
Reportage dans un maquis subsaharien à Tunis: Clandestinité et chaleur humaine!
Si certains Tunisiens mangent dans des établissements clandestins durant ramadan, beaucoup de subsahariens résidents à Tunis le font tout au long de l’année. Par rapport au nombre de personnes originaires d’Afrique subsaharienne résidant à Tunis, le nombre de restaurants subsahariens dans la ville est très bas. Cette absence de la nourriture ouest-africaine dans l’espace public, dans une ville qui depuis des décennies accueille d’importantes communautés subsahariennes interroge. Nos rencontres nous ont menées à un maquis, soit une maison qui se transforme tous les soirs en restaurant informel.
Du fil et des aiguilles en mémoire des réfugiés
Confectionner avec les réfugiés du camp de Choucha des sacs recyclés, c’est l’ingénieuse idée lancée par le jeune couturier ivoirien, Karim Traoré. Portrait.
Droits des migrants en Tunisie : La société civile interpelle les nouveaux élus !
40 mille Tunisiens ont traversé le canal de Sicile, au cours de l’année 2011, pour débarquer dans plusieurs villes d’Europe. 1500 d’entre eux ont péri en mer ou sont portés disparus… A partir des données recueillis sur le terrain, le FTDES a dressé le profil socio-économique des disparus. Son premier constat : les disparus sont, en majorité, âgés de moins de 30 ans. Près de la moitié (46%) ont entre 15 et 24 ans. Cela peut s’expliquer par la fragilité de leur situation économique et leur désespoir face à l’avenir.
بين مخاطر الحرب أو الغرق، محنة السودانيين الفارين من ليبيا عبر تونس
قام جيش البحرية التونسي بإنقاذ 91 مهاجرا غير شرعي و إدخالهم إلى ميناء جرجيس بعد محاولتهم الهرب عبر البحر. يتحدث أحد الفارين في هذا الشريط عن مأساة المهاجرين السودانيين في ليبيا بين نار الصراع الدائر هناك و الإهمال الكامل من طرف السفير السوداني بليبيا.
دراسة حول وضعيات المهاجرين في تونس
كشفت دراسة صدرت يوم الثلاثاء 2013/12/11 حول المهاجرين المتواجدين على الأراضي التونسية أن ثورة 2011 لم تؤثرعلى وضعيات هؤلاء. وأعلت الباحثة إيمان الغضيوي معدّة الدرّاسة لصالح المنتدى التونسي للحقوق الاجتماعية والاقتصادية أن الدّراسة تشمل علاقة المهاجرين بالإدارة والأمن والشّعب التونسي بما في ذلك المجتمع المدني.
Des étudiants subsahariens toujours sans carte de séjour
La fin de l’année scolaire et universitaire est là, pour les étudiants étrangers venus étudier en Tunisie c’est le moment de prendre son billet d’avion et de rentrer au pays passer des vacances. Sauf que pour bon nombre d’entre eux le passage à la police des frontières va coûter cher, faute de carte de séjour ils vont devoir s’acquitter d’une amende.
Agression d’étudiants subsahariens: “L’attaque de l’immeuble à Lafayette n’est pas une première”
L’attaque, lundi dernier, d’un immeuble dans le quartier de Lafayette n’est malheureusement pas le premier acte du genre. Toure Blamassi, Président de l’AESAT témoigne d’un changement de situation dans le pays.
La traque des migrants se poursuit en Libye – FIDH
Les migrants sont, partout dans le monde, une population fragile. Bien souvent ils quittent leur pays d’origine pour des raisons économiques. Ils finissent toujours par venir grossir les rangs de la main d’oeuvre pauvre de leur pays d’accueil.