Trop de fois le débat sur le voile a été ressassé, bâclé, ruminé. Des compromis électoralistes camouflés de valeurs prétendument […]

Trop de fois le débat sur le voile a été ressassé, bâclé, ruminé. Des compromis électoralistes camouflés de valeurs prétendument […]
Avons-nous raison d’avoir peur des islamistes si jamais ils arrivent au pouvoir demain en Tunisie ? La réponse, avec détermination, est non. Car nous continuons à parler et à nous respecter en gravant sur les façades de la place publique le mot d’ordre qui a fait basculer la Tunisie vers la démocratie et la liberté : « dégage » à chaque tyran et à chaque usurpateur, ennemi de l’expression et de la parole libre.
Cette étude se propose de définir l’avenir politique de la Tunisie ; une Tunisie qui vient de franchir un obstacle majeur, celui de réussir pour la première fois dans son histoire les élections démocratiques de son Assemblée constituante. Après une présentation, en première partie, des liens historiques entre la Tunisie et la Turquie et des évènements marquants la Turquie contemporaine, il est proposé, en deuxième partie, une ébauche d’un régime parlementaire islamique pour la Tunisie, inspirée du modèle turc.
La présente enquête se propose de tirer les conclusions et d’analyser les opinions et les perceptions des Tunisiens par rapport aux résultats et aux conditions de déroulement des élections. En outre, cette étude cherche à déceler les attentes exprimées par les Tunisiens à l’égard des exigences de la prochaine période transitoire : Les enjeux et les défis de l’assemblée constituante.
Lorsque l’on est démocrate, on accepte le résultat du suffrage populaire. On le respecte parce que l’on respecte son propre peuple. Les Tunisiens ont voté et tranché. Globalement, ils ont donné leurs voix aux mouvements qui se sont comportés honorablement sous la dictature […]
A l’annonce des résultats de ces élections, nous aurions bien vu le parti Ettakatol à la tête de l’opposition démocratique et laïque en Tunisie. En effet, troisième force politique de l’Assemblée derrière le CPR de Marzouki (qui a très tôt prêté allégeance à Ennahdha), le parti social-démocrate dirigé par Mustapha Ben Jaafar aurait pu rassembler autour de lui afin de peser dans les décisions cruciales de l’Assemblée.
Point de « raz-de-marée islamiste » sur les côtes tunisiennes cette année. Ne bénéficiant pas de la majorité des sièges à l’Assemblée Constituante, Ennahdha sera tout de même le pôle dominant de la politique tunisienne dans les mois et années à venir. Assailli de toutes parts, le parti islamiste devra composer avec la réalité socio-culturelle de la Tunisie, et avec des éléments non-islamistes dans le gouvernement d’union nationale qu’il propose de mettre en place.
A la vue de sa photo, menottée, décharné, déshydraté, quasi mort, cet homme a suscité la curiosité des associations et […]
Je vous avais promis un article mais j’ai décidé de le condenser en quelques lignes afin de ne pas vous […]
Je vais le dire dès le début : je suis un sympathisant du Parti Démocrate Progressiste (PDP) et toujours fier […]
Ce matin, un internaute pensant m’insulter, m’a taclée de féministe enragée, même si je ne me suis jamais prévalue de […]
Par Mohamed Krit – Media de masses, media de classe
Media de boutiques, manque de tactique.
Media sociaux, bonjour les journaux.
Media islamiques bonjour la polémique.