Le Plaza traîne une réputation sulfureuse et pour cause : il aurait été un lieu où de nombreuses affaires du […]

Le Plaza traîne une réputation sulfureuse et pour cause : il aurait été un lieu où de nombreuses affaires du […]
Pour la première fois, le Conseil national de l’Association des Magistrats Tunisiens (AMT) annonce « l’échec du pouvoir politique, notamment celui du ministère de la Justice et de l’Assemblée Nationale Constituante qui n’ont fait aucun progrès dans le sens de la réforme du pouvoir judiciaire et son indépendance. »
كلام شارع فقرة تسعى الى تشريك المواطن بكل تلقائية عبر ترك مجال له كي يعبر عن ارائه و تفاعلاته مع القضايا المطروحة على الساحة الوطنية في مختلف الميادين. رصدنا لكم هذه المرّة تفاعل المواطن التونسي مع موضوع الزيادات المرتقبة في اسعار المحروقات
J’ai rédigé cet article en vue de réagir au traitement a minima du nouveau prêt souscrit par la Tunisie auprès de la Banque Mondiale. Ce billet d’humeur part d’un article publié dans les colonnes numérique du journal Le Temps. En raison de la très faible couverture de l’évènement, les griefs portés contre cet article pourraient être généralisés à l’ensemble des médias Tunisiens.
نظمت مجموعة من نقابات قوات الامن و اخرى تابعة للسجون و الاصلاح اجتماعا جماهيريا حاشدا يوم السبت 26 جانفي 2013 بقصر المؤتمرات بالعاصمة. الامنيون اكدوا على انهم ابرياء من دماء الشهداء و انهم طبقوا تعليمات الرئيس المخلوع و يرفضون ان يحاسب زملاؤهم في حين يبقى المخلوع هاربا دون محاسبة كما طالبوا بالافراج عن زملائهم الموقوفين
Je souhaiterai revenir sur l’élan de solidarité qu’a déclenché l’annonce de la condamnation de M. Nizar Bahloul, directeur du journal électronique Business news à quatre mois de prison ferme en rapport avec l’affaire de l’ancien ambassadeur de Tunisie à Abu Dhabi et apporter les éclaircissements qui s’imposent en ce cas de figure
C’est un peu le coup de la dernière chance pour les migrants du camp de Choucha qui se sont vu refuser le statut de réfugié. Ils ont quitté le camp hier soir pour venir ce matin à Tunis où ils ont décidé d’organiser une manifestation. Ils sont une centaine et espèrent se faire entendre par le UNHCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés en organisant un sit-in Place des Droits de l’Homme à Tunis.
Nous ne le ferons pas d’une manière vicieuse, mais méthodologique et dans un but pédagogique, démontrant que l’on peut s’amuser tout en étant sérieux, osant innover, créer et être révolutionnaire.
Sauver un nouveau né dans un hôpital tunisien n’est pas facile. Dactour Dextro nous raconte cette fois-ci une anecdote d’un enfant né après 13 ans de stérilité. Le père crie « Mon fils doit être au « Réal ! » – Non il ne s’agit de l’équipe de foot de Madrid. Le père fait référence au service de réanimation.
Reconnaître le droit des blessés à être soigné par l’État, c’est reconnaître la légitimité de la révolution. Or nos élus passent leur temps à répéter qu’ils sont désormais les seuls légitimes car ils ont été élus, car ils sont le résultat des premières élections libres de l’histoire de la Tunisie.
La semaine du 20 au 27 janvier promettait beaucoup en termes de reconfiguration des diverses forces politiques en Tunisie. Au final, des bémols sont systématiquement venus décevoir les attentes des observateurs : le front politico-électoral al Joumhouri – Nidaa Tounes – al Massar est quasiment un non évènement en l’absence d’al Jabha, toujours réticente.
شغل-حريّة-كرامة وطنيّة، كان هذا الشعار الأكثر تواتُرا خلال الثورة التونسيّة، لكنّ حكومات ما بعد الثورة تعاقبت دون تفعيل حلّ جذريّ لمعظلة بطالة أصحاب الشهائد العليا و دون تقديم رؤية واضحة تضعها بيد أيدي المعنيّين بالأمر ليتحلّو بالصبر على ضوء أمل الحلول المُرتقبة.
Chaque semaine, nous essayerons, dans cette chronique, de résumer l’actualité économique nationale, afin d’avoir une vue d’ensemble et ne pas se noyer dans la masse gigantesque d’informations disponibles et de pouvoir, assurer ainsi, le suivi des projets annoncés.
Jeudi 24 janvier 2013, Salah Hachani, un martyr de 1963, le père fondateur de l’institution militaire, a été assassiné une deuxième fois, quand, aux portes du cimetière des martyrs de Sijoumi à Tunis, des officiers militaires dans la Tunisie post-révolution ont empêché sa famille de l’enterrer dans le mémorial, en le privant des honneurs militaires.
« Nous ne sommes pas parvenus à avoir un consensus sur le remaniement ministériel pendant la dernière réunion qui a eu lieu hier entre des membres de la Troïka » a déclaré aujourd’hui dans une conférence de presse le Chef du gouvernement Hamadi Jebali.
Depuis huit mois, c’est donc la série noire. Plus une semaine sans que les Tunisiens n’apprennent par la presse le saccage ou l’incendie d’un ou plusieurs mausolées. Ces actes de vandalisme touchent aussi bien les régions reculées du pays que les abords de Tunis.
Les fausses rétractations du Ministre de l’Industrie, les réserves émises par le Ministère de l’Environnement, les pétitions facebookiennes ou les sit-in pacifiques devant le Ministère de l’Industrie ne feront pas fléchir ces mamelouks, ces Mustapha Khaznadar au service d’un émirat tremplin par lequel la Royal Dutch Shell s’apprête à transformer en paysage lunaire le Centre de la Tunisie.
Je pense que la polémique est le sel du débat culturel et politique. Mais je doute de l’utilité d’une querelle oiseuse, non documentée et ignorant délibérément la biographie intellectuelle et politique de celui ou celle que l’on critique. C’est le cas de la lettre “Révolutions arabes et clichés”, signée par Mario Sei, Santiago Alba Rico, Sondes Bou Said, Patrizia Mancini et Hamadi Zribi