Pour une fois il y a du monde, pour voir le film « Fausse Note » de Majdi Smiri, avec une brochette d’acteurs du petit écran et du cinema, Hichem Rostom, Lotfi Dziri , Lotfi Abdelii, et même Mohamed Dahech l’humoriste….

Pour une fois il y a du monde, pour voir le film « Fausse Note » de Majdi Smiri, avec une brochette d’acteurs du petit écran et du cinema, Hichem Rostom, Lotfi Dziri , Lotfi Abdelii, et même Mohamed Dahech l’humoriste….
Le 17 mai est la journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie. On a choisit pour illustrer cette thématique de faire une interview avec Mehdi Hmili, auteur-réalisateur de son dernier film « La nuit de Badr » qui a été projeté la semaine dernière à Tunis et qui a été retenu pour participer au Short Film Corner
Le 24 avril dernier, L’Association des arts pour le cinéma et le théâtre du Kef a régalé les amateurs de musique électronique en conviant sur la scène de l’Institut supérieur des arts dramatique , un des groupes les plus emblématique de la scène underground tunisienne, j’ai nommé CheckPoint 303. Un concert qui fut le premier du collectif dans la Tunisie Post-14janvier.
Lors de la deuxième journée de Doc à Tunis, le film Golden Man de Hssan Abdélghni a été projeté au Théâtre Municipal vers 19h. Mme Amina Azzouz, directrice artistique de cette manifestation, a présenté le programme.
Il paraît que l’art permet à l’être humain de rêver. Ça c’est pour le premier rôle. L’art est aussi un un baromètre. Il sent la société, perçoit ses mouvements, s’en inspire et donne à voir. Et puis il finit toujours par représenter le monde et surtout par le transformer. C’est que l’artiste doit être précurseur et doit nous faire réfléchir à travers ses œuvres. L’art et la culture doivent nous permettent d’élever notre esprit et notre condition.
L’équipe des Journées de la Tunisie Nouvelle, une manifestation culturelle Tunisienne à Montréal dédie sa soirée d’ouverture le 18 avril 2012 au thème de l’art et de l’engagement, avec une rubrique Témoignages à travers une vidéo réalisée à Tunis pour les JTN par Emine M’tiraoui, journaliste à Nawaat.org
Quand la forme devient signe le dessin de presse prend tout son sens. Alors que l’on s’interroge en ce moment sur l’espace possible pour la liberté d’expression en Tunisie la galerie Artyshow et la galerie Millefeuilles, à La Marsa, lancent une expo de dessins de presse pour la liberté d’expression.
Karim Gharbi s’assit en tailleur sur la scène du Madart’, enveloppé d’une lumière bleue. Il est transpirant, épuisé, son concert touche à sa fin. D’un air mélancolique il entonne un hymne à un antidépresseur imaginaire « Xanax, Xanax for ever, oublier la douleur ».
Dans ce roman graphique de 126 pages en couleurs, découvrez Mohamed, mais aussi ses copains Foued Amami, Lotfi et sa copine Anissa, Houssine, et bien d’autres confrontés à la réaction d’un pouvoir usé et suivez heure par heure cette révolution spontanée. […]
Une campagne est en train d’être menée sur plusieurs fronts dans notre pays pour modifier le visage de la société tunisienne. Elle utilise tous les moyens de conviction disponibles depuis la simple moralisation dans les rues et lieux publics jusqu’aux violences verbales et physiques en passant par le prêche dans les mosquées. […]
D’une certaine manière, là ou fini « Jiha », commence « Thawra ghir draj ». « Jiha » est un film sur une culture qui disparait, « Thawra ghir draj » est un film sur un art qui naît. Nous sommes quelques semaines après la révolution, un collectif de street-artistes commence à sévir dans les rues de Tunis et d’ailleurs.
La nuit du 6 au 7 novembre 1987 : une mauvaise adaptation tunisienne d’ « Hamlet » commence. Le général Ben Ali joue le rôle de Claudius, celui qui tue son grand frère pour être roi à sa place, qui n’a pour but que rester le plus longtemps possible au pouvoir et qui ne fait que propager la corruption, la décadence et la pourriture au sein de son royaume. La population est Hamlet, qui s’atermoie longtemps avant de passer à l’acte et destituer Claudius. Or, à cause de sa procrastination, de ses incertitudes et de son tiraillement, il succombe aussi à son plan et le royaume est pris par un Fortinbras, un prince ennemi, un emir du Qatar : les intérêts géopolitiques et géostratégies exogènes.
Suite aux éclaircissements apportés à la publication de l’article : «Évènementiel en Tunisie : Passe droits & marché Truqué », […]
Par le Syndicat Tunisien Libre des Organisateurs de Spectacles (STLPOS) Après 6 mois de vaines tentatives auprès du Ministère de […]
Hier, samedi 17 septembre, le drapeau tunisien a flotté sur les foules polonaise. A peine les premières secondes de The Mouvement entamées et le Crew de Bizerte et voilà le public polonais de l’Obiekt Club pris comme dans un ouragan dans le flow puissant de Malex et Gal3i.
Comme toutes les autres religions, l’islam doit prendre conscience d’un fait capital : pour survivre dans le monde moderne, il […]
L’association Medina mon amour, est une association qui s’occupe exclusivement de culture et ce sur la scène internationale. Cette association […]
L’histoire coloniale de la Tunisie ou du moins plusieurs ponts de cette histoire restent à construire. Voilà ce que nous pouvons en déduire au regard des différentes lectures proposées par l’historiographie tunisienne contemporaine. D’aucun sait l’importance accordée à l’étude des différentes péripéties du mouvement national dans les enseignements réservés à l’histoire décernés aux élèves du secondaire et particulièrement aux futurs bacheliers, mais personne n’a posé la question de l’intérêt que peut recouvrir un éventuel retour sur l’engagement de la colonisation dans le projet de représentation cartographique de l’espace géographique tunisien