من هذا المنطلق يبدو لي من التجني لوم الإسلام على فشل تلك البلدان لأن الإسلام بريئ منه. فأين الخلل إذن؟
هل الشريعة الإسلامية هي الحل؟
من هذا المنطلق يبدو لي من التجني لوم الإسلام على فشل تلك البلدان لأن الإسلام بريئ منه. فأين الخلل إذن؟
Le ciel du “printemps arabe” s’assombrit par l’ouest. Les belles et éphémères éclaircies des révoltes tunisienne et égyptienne se rembrunissent. Face à l’imminence de ce grain dévastateur, une bonne partie de l’intelligentsia arabe continue de baigner dans sa léthargie légendaire, confondant le présent avec le passé, obsédée par son fantasme du retour au sein maternel.[…]
Le légaliser, c’est le circonscrire, l’évaluer rationnellement en chiffrant le nombre d’adhérents, lui donner un cadre légal d’expression. Puisque la Liberté d’expression est désormais devenue une valeur sacro-sainte. Jusque là, tout va bien. La troïka aura sans doute un autre visage.
كتبت سمية الغنوشي، إبنة راشد الغنوشي على صفحتها على الفايسبوك : ” ليعلم هؤلاء و كل الأفاكين من أمثالهم أننا سنتتبعهم قضائيا و نجرهم إلى المحاكم حتى ينتهوا عن ممارسة ألاعيبهم القذرة. ليعلموا أننا قد تعقبنا صحفا أعرق و أكبر منهم في بريطانيا و ألمانيا و إيطاليا كانت تتلقلى أموالا و دعما من المخلوع لتشويه النهضة و قيادتها فأفلس بعضها و اضطر إلى الإغلاق تحت طائلة هذه المحاكمات و القضاء. ليعلم هؤلاء أنهم قد ارتقوا مرتقا صعبا و أن زمن الغاب حيث كانوا يصولون و يجولون دون حسيب أو رقيب قد ولى وانتهى.”
En ce Monde Nouveau qui se profile, la politique se fera autrement, les valeurs auxquelles l’on s’attache étant valorisées, et non dénigrées, par un comportement adéquat rappelant la morale chrétienne de tendre l’autre joue au premier soufflet..[…]
Parallèlement à la vague de froid sans précédent qui sévit depuis quelques jours sur notre cher pays, il semblerait que le phénomène d’intoxication médiatique ait également pris une ampleur sans précédent […]
La Tunisie, le pays qui a fait la révolution de la dignité bouleversant ainsi l’ordre politique dans plusieurs dictatures, a été le premier gouvernement à renvoyer l’ambassadeur syrien et à couper toute relation avec la Syrie d’Al Assad. Le monde arabe a applaudi cette « décision » de notre chef d’Etat provisoire, ceci contrairement à d’autres avis internationaux et surtout nationaux, pour lesquels ce fut une décision «prise dans la précipitation ».[…]
Chassés par la grande porte, ils reviennent par la petite fenêtre. Ils ne sont plus RCDist, mais destouriens et bourguibistes. En fait ils ne sont ni les uns ni les autres. Les destouriens étymologiquement les personnes attachées au Destour, à la constitution : la loi fondamentale qui organise les pouvoirs et garantit les libertés fondamentales subsidiairement les personnes adhérents au parti qui lutte pour le recouvrement de la souveraineté nationale en partant de son attachement au Pacte Fondamental de 1857. […]
Par Linda Ben Osman La décision de virer l’ambassadeur syrien émane, selon le premier ministre provisoire Hamadi Jebali, du peuple […]
Après avoir mis en place avec succès les instances politiques du pays, à savoir la Présidence de la République, le gouvernement et l’organisation interne de l’assemblée constituante, les élus du peuple commenceront bientôt la rédaction de la constitution de la deuxième République. L’article 1 sera immanquablement le premier sujet lancé au débat et suscitera sans aucun doute beaucoup de divergences, de déchirements et de polémiques.
Depuis le 14 janvier 2011, le discours politique des uns et des autres vénère le « peuple » Tunisien et maudit le président Ben Ali et les trabelsi. Le « peuple » tunisien serait donc un « grand peuple » et personne n’oserait dire le contraire. Au risque de choquer certains, osons quelques remarques à ce propos : Ben Ali a gouverné 23 ans avec les tunisiens. Il n’a donc, pas importé un peuple. Combien de personnes parmi les 11 millions, que nous sommes, n’ont pas composé avec le système Ben Ali ? Combien ont remit actuellement en cause leur comportement ?
Décidément, depuis le 14 Janvier 2011, les tunisiens auront tout vu, tout entendu, tout vécu. Après une constipation de plusieurs décennies, ce furent les diarrhées totales, intégrales, innarrêtables. La première fut celle des juristes et des universitaires qui nous ont abreuvé et saturé de leçons sur la gestion de la démocratie ; puis ce fût celle des politiciens qui nous ont vanté les mérites de leurs partis respectifs et promis un monde meilleur si les électeurs les portaient au pouvoir […]