Les chiffres sur les violences contre les femmes explosent. Dans les faits, en moyenne une femme est assassinée chaque mois par son époux. Les migrantes sont également exposées à toutes sortes de violences (sexuelles, économiques…) en Tunisie.
Les chiffres sur les violences contre les femmes explosent. Dans les faits, en moyenne une femme est assassinée chaque mois par son époux. Les migrantes sont également exposées à toutes sortes de violences (sexuelles, économiques…) en Tunisie.
Les récentes interceptions par les Houthis de bateaux navigants sur la Mer Rouge ont relancé le débat sur la piraterie. C’est l’occasion pour nous de revenir sur l’histoire de cette pratique qui connut son âge d’or en Tunisie entre les XVIIe et le XIXe siècles.
« Le partenariat maudit », de Houcine Ben Amor, écrit en collaboration avec la journaliste Bahija Belmabrouk, et présenté comme un travail d’investigation, tient un peu de l’enquête et beaucoup du réquisitoire. En choisissant d’occulter certains faits, les deux journalistes ont pris des libertés avec la vérité.
Fuyant les persécutions, les migrants LGBT quittent leur pays en quête de sécurité. Tout au long du trajet migratoire, ils sont exposés à une extrême violence, notamment sexuelle. Une fois en Tunisie, ils sont de nouveau confrontés à d’autres formes d’abus. Pour eux, l’avenir est ailleurs. Encore faut-il qu’ils aient le soutien du HCR.
Bien avant qu’elle ne puisse comprendre les mots et leur poésie, depuis son plus jeune âge, Widad Mjama est fascinée par les Chikhates, ces femmes chanteuses et gardiennes d’une tradition datant du XIIe siècle. Le projet artistique de l’AÏTA est né de cette fascination. « Aita mon amour » est le nom de sa nouvelle création, produite en collaboration avec Khalil Epi. Par cette création, le duo a souhaité arracher cette poésie à l’oubli, rendre hommage à ces femmes majestueuses et faire résonner cet art typiquement marocain à l’ère numérique.
Oscillant entre profond bonheur et désespoir, Bon deuil !! nous immisce dans les échanges et l’intimité d’une jeunesse abandonnée. Composant à partir de leur vécu, deux danseurs nous prennent à témoins et reconstruisent par leur corps leur réalité tel un rituel pour faire le deuil d’une vie sacrifiée. Une œuvre poignante qui nous rappelle douloureusement nos échecs.
Le collectif Room 95 fait la promotion de la scène underground, via des installations immersives qui entrainent les participants dans un voyage dans le temps, en les immergeant dans l’univers des 90s.
Fruit de plusieurs années de contemplation, la première exposition individuelle de Chehine Dhahak est une exploration visuelle de l’errance. Capturée au gré des rencontres fortuites, chacune de ses photos se présente tel un assemblage soigneusement orchestré, où l’harmonie visuelle et les proportions occupent une place prépondérante.
Fashion WeAk est le tout premier album de Donc Pac. Cet album novateur incarne la fusion artistique qui caractérise le musicien, marquant l’union audacieuse entre la musique acoustique et électrique. Plongeant dans les influences éclectiques de l’artiste, Fashion Weak se présente comme un voyage musical, explorant les méandres du reggae, de la cumbia, du dub, de l’afro ou encore, du hip-hop.
« Memories of Concrete » est un court-métrage expérimental, aux confins du journalisme et de la création artistique. Le film basé sur des images prises au marché central, offre un cocktail détonnant qui mixe les enregistrements vidéo de corps en mouvement, avec des créations graphiques. Avec ses sons enregistrés et ses dialogues incrustés, le réalisateur met en évidence les contradictions et l’évolution paradoxale des Tunisiens.
L’objectif de l’expérience « Les Amazighs, Mémoires Perdues » de Med Arbi Soualhia est d’abord d’archiver la mémoire collective. Ainsi, quatre témoignages ont été recueillis puis déclinés sur trois volets en réalité virtuelle. Le résultat : une expérience unique pour mieux comprendre l’histoire des Amazighs du sud tunisien et découvrir leur culture.
Les chiffres sur les violences contre les femmes explosent. Dans les faits, en moyenne une femme est assassinée chaque mois par son époux. Les migrantes sont également exposées à toutes sortes de violences (sexuelles, économiques…) en Tunisie. Quelles sont les conséquences de ces violences ? Quelles sont les formes de résistance visant à endiguer la propagation de la haine ? Cette résistance parviendra-t-elle à établir une société plus égalitaire et libre pour les femmes ?
En Tunisie, le droit à la Santé est théoriquement garanti par la Constitution. Mais les faits sont têtus, et la pilule dorée a bien du mal à passer. Question santé, près de deux millions de Tunisiens ne bénéficient pas de couverture sociale.
Une enquête menée par des résidents du service de santé mentale de l’hôpital Mongi Slim a mis en évidence l’impact psychotraumatique résultant de l’exposition des Tunisiens aux images de la guerre à Gaza.
La femme doit être mince sinon elle n’a pas sa place dans le monde artistique, balance Mariem Dabbegh en s’adressant à la chanteuse Amira Belhaj. Cette stigmatisation envers les femmes qui ne répondent pas à ce standard pondéral semble particulièrement plaire à Attassia TV. Au point de republier l’extrait de cet échange datant de 2018. Et tant pis pour les conséquences.
« La transition énergétique ne se fait pas de manière équitable entre les pays du Nord et les pays du Sud », déclare une spécialiste. Et qu’attendre de la COP28 quand elle est présidée par le PDG d’une compagnie pétrolière ?
Deuxième volet de notre article sur les oiseaux des forêts du nord-ouest de la Tunisie. En espérant susciter des vocations d’observateur ornithologique. Histoire de partager une passion qui ne devrait pas rester le privilège d’une infime minorité.
Les forêts du nord-ouest de la Tunisie abritent de nombreuses espèces d’oiseaux. Dans cet article sur deux volets, nous présentons quelques espèces spécifiques à cette région, et d’autres, peu connues dans notre pays.