La bureaucratie de l’UGTT, en s’engouffrant dans ce dialogue, voulait mettre un frein à cette poussée fiévreuse du monde du travail parce qu’elle craint comme la peste que le phénomène dans la durée ne donnent des idées à ses protagonistes.

La bureaucratie de l’UGTT, en s’engouffrant dans ce dialogue, voulait mettre un frein à cette poussée fiévreuse du monde du travail parce qu’elle craint comme la peste que le phénomène dans la durée ne donnent des idées à ses protagonistes.
Que les organisations qui adhèrent à l’idéologie de la confrérie ont cherché au court de l’histoire à cacher leur affiliation à la secte polite-religieuse n’est pas du tout surprenant, tenant compte que la majorité de leurs membres était recherchée dans leurs pays natals et que la chance augmentait surtout dans les cercles des immigrés musulmans en Europe à attirer de nouveaux adeptes s’ils se montraient plus discrets sur la vraie nature de leur idéologie
Tunis/Genève, 10 Octobre 2013. L’Assemblée nationale constituante (ANC) de la Tunisie, en tant que parlement transitoire, a adopté hier soir […]
Plus qu’un programme politique rigoureux, c’est une ligne politique centriste. Et c’est une philosophie politique avec des références ouvertes et diversifiées culturellement à plusieurs grands philosophes que présente le Président tunisien.
La dette publique d’aujourd’hui n’est autre que les taxes de demain. Sauf que demain nous ne serons pas tous ici pour payer des taxes afin de rembourser cette dette. Et comme la dette doit être payée alors d’autres personnes, qui n’étaient pas présents lors de la contraction de cette dette, vont être appelées à contribuer, via des taxes, aux efforts de remboursement.
L’Observatoire de Tunis pour la Liberté de la Presse relevant du centre de Tunis pour la liberté de la presse […]
Il peut paraître surprenant que le mot « patrimoine » est issu d’un vocabulaire juridique, son utilisation, dans les acceptions que nous lui connaissons remonte à la fin des années 1980. II est alors utilisé pour désigner l’ensemble des productions humaines à caractère artistique que le passé a laissées en héritage.
Tunis, le 9 octobre 2013 La Coalition civile pour la défense de la liberté d’expression : Le paysage audiovisuel en […]
Notre ami Taïeb Laaguili fait l’objet d’une campagne féroce de dénigrement cherchant à jeter le discrédit sur les révélations qu’il […]
Il y a aujourd’hui consensus autour de la reconnaissance que les injustices sociales sont à l’origine de la révolution du 14 janvier. Ça n’a pas toujours été le cas. Durant l’ère Ben Ali, il était courant d’entendre les discours apologétiques du régime sur le miracle économique tunisien même en dehors des canaux de propagande habituels.
Hier, au large de Lampedusa, marchepied européen (qui aurait bien pu relever du territoire national), il y a eu encore des morts nombreux et d’innombrables disparus. Cela s’est ajouté à une bien triste et longue liste de victimes que l’on ne saurait ni ne devrait jamais oublier, ne serait-ce que parce que les files des futures victimes sont déjà là qui se bousculent à l’horizon.
Comme toute nation qui a peuplé et/ou peuple cette terre, l’être français s’est interrogé sur lui-même et sur son pays. Ainsi de ces personnages de l’Histoire de France dont je me suis lancé, à l’instar de la remarquable Encyclopédie du Million de tous les pays du monde dans l’article traitant de ce pays (1973), à mettre en dialogue virtuel pluriséculaire les mots qu’ils ont pu dire sur leur pays ou à propos de leur peuple
La semaine politique du 1er au 6 octobre fut dominée par deux évènements majeurs théoriquement indépendants l’un de l’autre, mais qui en réalité sont intimement liés, voire corrélés. Entre la conférence de presse de l’IRVA qui ouvre la semaine et la tenue de la session inaugurale du dialogue national qui la clôt, s’il n’y a pas de relation de cause à effet entre les deux happenings, la pression exercée par le premier sur le second est indéniable.
L’évidence que les banques publiques ont besoin d’assainissement fait aujourd’hui l’unanimité entre les différents acteurs du milieu économique. Ce qui pose problème c’est la manière dont cet assainissement devrait se faire. Un full-audit a donc été lancé afin de déceler les problèmes financiers comme les défaillances au niveau du système d’information et même au niveau des ressources humaines.
Utiliser une pensée appartenant à une autre “sphère civilisationnelle”, est-ce là un coin qu’on enfoncerait à l’intérieur de la foi musulmane ? Ou plutôt, y-a-t-il un risque flagrant de dénaturer notre propre vision de l’Unicité et des Attributs de Dieu ? Et donc d’une perte chez les musulmans de ce qui fonde leur identité propre ?
Le coup d’envoi effectif du dialogue national n’engage plus que ceux qui y croient encore. Plus de 2 mois de blocage, des belligérants qui se tournent le dos et même une intervention américaine en coulisses feraient presque passer la crise tunisienne pour un nouveau casse-tête type Proche-Orient. Une lueur d’espoir est cependant venue apporter samedi la promesse de mettre fin aux querelles politiciennes.
Quel rapport y a-t-il entre Wim Wenders, Abel Ferrara, Ettore Scola ou Quentin Tarantino avec le cinéaste Tunisien Néjib Belkadhi ? Probablement cette capacité à sonder, chacun à sa manière, la nature humaine pour la retranscrire formidablement dans une œuvre, à l’univers si particulier, qui ne laisse guère indifférent.