Il y avait de quoi devenir superstitieux vendredi 13 septembre, pour peu que l’on soit un professionnel des médias. Hasard du calendrier ou cabale méthodique, la rentrée politico-judiciaire avait un air de déjà vu…

Il y avait de quoi devenir superstitieux vendredi 13 septembre, pour peu que l’on soit un professionnel des médias. Hasard du calendrier ou cabale méthodique, la rentrée politico-judiciaire avait un air de déjà vu…
88% de Tunisiens estiment que l’économie du pays se porte mal et seulement 50% croient en une amélioration pour l’année prochaine. Ils ne sont plus que 30% à privilégier une démocratie solide à une économie forte. Selon une enquête du Pew research center, basé à Washington, le désespoir économique des Tunisiens s’est intensifié depuis 2012.
Avant la révolution, les dessinateurs et les tagueurs tunisiens ne s’exprimaient pas ou peu. Aujourd’hui, dans les rues et sur les réseaux sociaux, ils saisissent à travers leurs slogans ou leurs dessins l’amertume, les déceptions ou le ras-le-bol d’une population désillusionnée.
Les palestiniens partout où ils se trouvent « célèbrent » aujourd’hui, dans la douleur et les exactions de l’Etat Hébreu (2), les tristement célèbres accords du 13 septembre 1993 qui devaient conduire à une paix globale entre Juif et Arabe. Deux décennies sont écoulées, sans que la paix ait retrouvée son chemin.
Le journaliste d’Express FM Zouhaer El-Jiss comparaîtra demain, vendredi 13 septembre 2013, devant le tribunal de première instance de Tunis. Il est accusé, avec le rédacteur en chef et le webmaster de la radio, de diffusion de propos calomnieux et de fausses informations pouvant troubler l’ordre public, et d’outrage au président de la République.
217 incendies, 3 943 hectares ravagés sur la seule période du 1er mai au 26 août 2013 : ce sont les derniers chiffres, alarmants, communiqués par la direction générale des forêts. 60 % de ces feux sont d’origine inconnue. Les acteurs de l’environnement déplorent des pratiques criminelles destinées à s’accaparer illégalement terrains et pâturages ; sans compter de possibles agissements d’ordre politique destinés à semer la confusion ou à occuper les services sécuritaires.
Depuis les évènements du 14 janvier 2011, le pays est en pleine mutation ! Le rôle des médias et la place des journalistes deviennent des enjeux de pouvoir et les réformes engagées dans ce secteur cristallisent souvent les contradictions inhérentes à la nature même de la transition qui a cours dans notre pays.
Le patron de la chaîne tunisienne EttounsiyaTV, Sami Fehri a été libéré mercredi après plus d’un an d’une détention considérée […]
Le bureau de l’ANC vient d’annoncer hier 10 septembre 2013 la reprise des travaux de commission de législation générale, qui […]
Bardo le 7 Septembre 2013 Communiqué L’Observatoire Tunisien de l’Indépendance de la Magistrature (OTIM) réuni dans le cadre de son […]
Suite à la publication du journal quotidien Al Chourouk, copiée par plusieurs médias, de l’information selon laquelle le Syndicat de la sûreté républicaine a déclaré qu’il y avait 20 agents de sûreté impliqués dans l’assassinat de Balaïd et Brahmi. nous avons contacté le syndicaliste Mohamed Rouisse du Syndicat en question, qui a été cité comme source.
Existe-t-il une réelle communication qui permet de rendre lisible la feuille de route de la majorité, lisibilité qui requiert en même temps la coopération de l’opposition ? Autrement dit est ce que le consensualisme est la seule clef pour ouvrir la boite du sauvetage tant vanté par l’opposition ? Quelle est la nature de la crise que connait le pays ? Et quelle est la place de l’opposition dans cette situation de crise ?
Les déclarations martiales du gouvernement français et de son chef de l’Etat François Hollande, à la suite de celles d’Obama, eu égard à la Syrie ont fait monter la tension d’un cran au Moyen-Orient comme dans les autres pays arabo-musulmans et occidentaux impliqués dans ce conflit que l’on présente comme une guerre civile
Le directeur de la chaîne de télévision El Hiwar Tahar Ben Hassine a été convoqué ce matin et entendu par la Brigade Criminelle de Gorjani. Puis le Procureur de la République l’a transfère devant le juge d’instruction du 12eme chambre, rapporte Mokhtar Trifi, un des avocats de M. Ben Hassine. Il s’agit d’une nouvelle affaire pour l’homme de média.
A l’intérieur de l’Assemblée Nationale Constituante, un comité de coordination et un front parlementaire ont été formés pour discuter des articles, entre autres ceux relatifs au Tribunal Constitutionnel et au Conseil Supérieur de la Magistrature, pendant que les 60 députés en retrait continuent de manifester sur la Place du Bardo, pour la dissolution du gouvernement Laaridh. Entre temps, la pression continue de plus belle pour que le Président de l’ANC reprenne son poste suspendu depuis le 6 août.
Les fins de semaine sur le mode vendredis du plébiscite VS samedis de l’opposition se suivent et se ressemblent en Tunisie. Face à une opposition incapable de transformer l’essai, le nouveau credo du pouvoir semble se résumer désormais à « cause toujours ». Nous sommes face à ce qui ressemble de plus en plus à une authentique guerre d’usure.
Il y a deux semaines le rédacteur en chef du quotidien francophone La Presse de Tunisie, Mongi Gharbi, démissionnait de son poste après prés de trois ans de fonction. Suite à sa démission il a été remplacé par un nouveau rédacteur en chef nommé et non élu. Une démarche qui n’a pas plu à une partie de la rédaction qui a lancé une pétition, signée par prés de la moitié des journalistes, qui souhaitent revenir au système d’élection.
Mercredi 11 avril 2007, un boom assourdissant paralyse l’Algérie et l’opinion mondiale. Des gravas, du sang, des blessés, des morts…beaucoup de morts. Dans son bureau surplombant la baie d’Alger, au service des transmissions du ministère de l’intérieur, Mohamed ROUKHI n’aura pas eu le temps de dire adieu à sa femme et ses deux enfants.