Prenant la parole, à Nice, devant le président français et deux de ces prédécesseurs à l’Elysée, le gouverneur de Sousse, Adel Chelioui, a pitoyablement maltraité le discours en français qu’il avait rédigé ou qu’on a rédigé pour lui. Malgré les circonstances (commémoration de l’attentat du 14 juillet 2016), le public, une foule de grands personnages, a eu visiblement du mal à retenir ses rires devant la prestation ridicule du responsable tunisien.
