[…] En politique, cela revient à ne pas recourir à la langue de bois et ne pas faire la politique à l’antique, en usant de ce qui faisait le propre de la politique à l’ancienne : la force et la ruse, et ce en mettant davantage de morale, ou plutôt d’éthique, dans notre action, veillant surtout à ne pas verser dans le manichéisme en observant et en analysant les faits politiques, ne serait-ce que pour ne pas tromper ceux qui nous lisent ou nous écoutent, et pis! ceux sur qui nous avons quelque influence; car alors, notre responsabilité est énorme et est grande notre forfaiture à l’égard de l’honneur politique! […]