La liberté étant une notion toute nouvelle pour le citoyen Tunisien, qui vient d’arracher sa citoyenneté depuis cinq mois et quelques jours, elle reste encore malheureusement une notion encore floue et confuse. C’est ainsi que la liberté se confond dans l’inconscient de la plupart des Tunisiens, et même des plus érudits, avec celle de morale, avec la notion de Vérité (ou de vérité suprême) pour enfin se confondre avec celle de religion. La liberté est donc confinée dans les limites posées par les « scholars » dans leurs interprétations du bien et du mal, du permis et du non permis, du حلال et .حرام
